Réflexions sur la psychologie

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Introduction

J’explique ici quelques notions de psychologies que soit j’ai apprises, soit j’ai déduit et donc dans ce cas ce sont des hypothèses plausibles!

Certaines de ces notions, je trouve, sont intéressantes pour prendre des bonnes décisions politiques.

Nous partons du principe que les caractéristiques psychologiques que l’humain a, et qui sont les mêmes pour la plus part des humains, ont été placées là par l’évolution pour nous donner une chance supplémentaire d’avoir une descendance. En effet les gènes qui favorisent certains comportements, certaines idées, et qui vont favoriser les chances d’avoir une descendance vont se propager dans toute la population au bout de nombreuses générations, des dizaines de milliers d’années car elles donnent un petit avantage à avoir une descendance. Les gens n’ayant pas ces gènes auront un petit désavantage à avoir des enfants, et de générations en générations ces gens disparaîtront. Le fait de pouvoir aimer, le fait de pouvoir haïr, de pouvoir être stressé, en dépression ou heureux est permis par nos gènes. En effet, le fait de pouvoir ressentir ces choses est une caractéristique de presque tout les humains, et par forcément de tout les animaux. C’est ce que je crois du moins.

Ça ne veut pas dire que tout les traits de personnalités sont dictés par les gènes, je crois aussi qu’il y a l’influence du milieu que ce soit par ce qu’on apprend et ressent ou par l’effet biologique de celui ci sur nous. Il y a possiblement aussi le hasard qui intervient dans le développement de notre psychisme, que ce soit biologiquement dans le développement du cerveau ou par le fil des pensées qui nous construit. Mais en tout cas les gènes ont un rôle, hors seuls ceux qui donnent un avantage à avoir une descendance perdurent.

Aussi je pense que certaines capacités psychologiques se transmettent à la fois génétiquement et par le vécu: il faut que le génétique soit là pour permettre que puisse s’installer par le vécu certaines caractéristiques psychologiques, c’est le cas par exemple pour le langage, où, je crois bien, si on n’apprend pas à parler avant 5 ans, il sera beaucoup plus difficile d’apprendre à parler d’après les études de Noam Chomsky et Eric Lenneberg. Les comportements qu’on a sont là car ce sont des suites d’idées et de ressentis qui nous poussent à agir ainsi. C’est ce que je crois pour les traits les plus rependus dans la psychologie humaine, comme le fait de généralement vouloir survivre.

Et puis je crois que certaines maladies psychologiques s’installent à cause du vécu, mais qu’une bonne partie des maladies psychiatriques sont dues à un déréglementent biologique et c’est pour ça, que malgré l’évolution ces cas existent toujours: ce sont des maladies.

Ces idées c’est mon point de vue dans ce livre, on pourrait en discuter longuement mais c’est sur quoi je me base dans ce chapitre. Je crois aussi que pas mal de ces maladies psychiatriques sont dues à des infections dormantes qui piratent le système immunitaire pour mieux se propager, créant des effets de bord biologiques sur les récepteurs aux neurotransmetteurs. Je pense ici que les infections pour leur survie et leur meilleure reproduction ont certaines caractéristiques et certaines fonctionnalités : certaines de ces fonctionnalités auraient pour effet secondaire (effet de bord) le fait de créer les maladies psychiatriques. J’ai beaucoup recherché là dessus et c’est ce qui me parait le plus probable. L’intérêt de savoir cela est qu’on pourrait peut être bien soigner ces gens. Le cannabis, la cocaïne, le phencyclidine ou d’autres substances arrivent à dérégler le cerveau de manière intense, il est possible qu’une hormone inconnue très puissante le dérègle aussi, cette hormone étant trop sécrétée par l’effet d’une infection. C’est l’hypothèse de la schizophrénie, d’Alzheimer et de Parkinson du professeur Fourtillan basée sur l’hormone de l’éveil (trop d’hormone de l’éveil dans la schizophrénie, et pas assez dans Alzheimer et Parkinson), on trouve sa vidéo sur Youtube. Je pense que le professeur Fourtillan avait une instabilité psychique et n’a pas publié ses travaux, pourtant ils sont vraiment intéressants. C’est parce que ces infections évoluent pour mieux se propager que l’évolution de l’homme n’aurait jamais trouvé la solution pour les éradiquer. Ça reste une hypothèse. Je décris cette hypothèse sur le site Une infection dormante dans l’oeil pourrait provoquer la majorité des cas de schizophrénies

Pour revenir sur l’idée que notre psychologie nous aide au final à nous reproduire, on peut citer l’exemple qu’aider les autres est une caractéristiques que presque tout les humains ont. Et quand on aide à de trop nombreuses reprises une personne sans qu’elle nous donne d’aide en retour, on est en colère, c’est aussi une caractéristiques que presque tout les humains ont. Ces deux comportements sont sûrement codés par nos gènes car ces comportements donnent un avantage sélectif: ils permettent l’entraide entre humain sans se faire avoir (car si on aide sans avoir de retour on se fait avoir), et les groupes s’entraidant auront de meilleures performances (par exemple pour récolter la nourriture) et auront de meilleures chances de se reproduire. Du coup au bout de nombreuses générations ces gènes permettant l’entraide doivent finir par s’imposer à l’humanité.

L’altruisme favorise la descendance si il y a un retour de la part des gens aidés, du coup si l’altruisme est héréditaire, l’altruisme se diffusera de génération en génération dans les populations ou il y a un retour quand on est aidé.

Pareillement on peut déduire pas mal de caractéristiques sur l’humain avec ces réflexions!

Inversement pour d’autres caractéristiques, il très difficile de déterminer si ils vont permettre d’avoir un peu plus de descendance ou non, donc il est difficile de connaître les règles de psychologie dans ces situations! Par exemple, essayez de déterminer si pour avoir une descendance il est bénéfique d’être fidèle ou infidèle. On pourrait croire qu’il est bénéfique d’être infidèle quand on est un homme, sauf que ça peut provoquer la colère de sa femme et de sa belle famille amenant à de graves problèmes! Donc pour ce cas, ça n’est pas si évident.

Dans ce cadre de raisonnements cartésiens, je n’arrive pas à comprendre pourquoi nous avons une âme (je sais que certains ne croient pas en l’existence de l’âme, d’autres si, moi j’y crois même si je suis très cartésien), elle n’a pas d’intérêt du point de vue de l’évolution. Je crois que nous avons une âme car nous vivons et souffrons, ce ressenti/déduction est très dur à expliquer. En effet nous pourrions être des machines biologiques sans âmes, avec les même comportements, cela auraient autant favoriser d’avoir une descendance. Avoir une âme, me semble t’il n’a pas d’intérêt pour avoir plus de descendance, donc on devrait pas en avoir. Ça reste un énorme mystère pour moi!

Je suis pas sûr que tout mes raisonnements sur la psychologie soient utiles mais je les notes ici, au cas où ça vous éveille des idées!


Liste des sous-chapitres:

S’unir contre un ennemi commun est une caractéristique utile, donc présente dans la psychologie humaine.

L’idée qu’il peut se former plusieurs groupes du point de vue de l’évolution

Les personnes ayant un trouble de la personnalité antisocial

La peur que tous peuvent mal se comporter

L’évolution favorise que nous soyons amis

Ces bonnes caractéristiques risquent sur le très long terme de ne pas perdurer

La psychologie de la lutte des classes

Le racisme, lié à certains traits psychologiques?

Les gens suivent les règles en général

Les gens suivent ce que les autres font en général

Faire des généralités facilement

Tout comprendre dans le détail ne donne pas plus de descendance en général

Les gens ayant un QI de plus de 130 ont souvent de mauvaises capacités sociales

Les gens ayant un QI élevé ont moins de descendance

La compréhension des autres

L’effet d’internet sur nous

Ne pas réussir à changer d’idées dans les problèmes psychologiques

Ne pas pouvoir s’imaginer le monde en entier

La peur de la sorcellerie pousse durant l’enfance à être cartésien par opposition, ça a été mon cas

La parano

Les phénomènes avec pleins de paramètres

La psychologie en politique

Les groupes dans la société

Ma psychologie

L’évolution de rumeurs

Pourquoi le tirage au sort dans bien des cas est la solution

Il est difficile de faire des raisonnements sur les ethnies et leur psychologie

S’unir contre un ennemi commun est une caractéristique utile, donc présente dans la psychologie humaine.

Il est important de comprendre cela dans cette situation où l’on devrait faire une union mondiale face aux problèmes que posent la guerre économique, car ça pourrait la rendre plus difficile à faire.

En effet la guerre économique, comme je l’ai expliqué dans les précédents chapitres amène à faire des coups tordus, rendant ainsi son pays plus puissant économiquement, laissant de coté les autres pays. Les pays qui se comportent mal dans le but de rester puissants dans le monde, de peur des autres pays, vont devenir les plus forts, et ça c’est pas bon pour nous tous! Cette guerre économique peut avoir des conséquence sur la guerre réelle car elle envenime la situation. Et je suppose qu’il y a aussi des conséquences sur les consommateurs, dont ceux de médicaments .

Le fait de s’unir avec notre ennemi face à un ennemi plus fort est un phénomène naturel, c’est un réflexe animal et il est utile. Les gens vont automatiquement s’unir contre la menace la plus grande. En effet si on se fait la guerre dans notre petit coin, dans notre région, entre deux petits pays, avec notre petit ennemi, on sera au final moins puissants quand l’autre puissant ennemi nous attaquera. On a donc tout intérêt à s’unir. Il est aussi important d’avoir une psychologie qui regarde les menaces aux alentours, en particulier les villages plus puissants que notre village: ainsi on saura s’en méfier, obtenir une bonne puissance pour que le jour où ils essaient de prendre le dessus sur nous, nous soyons suffisamment forts. Ça favorise que notre groupe soit par la suite fort, que nous ayons peu de perte humaine dans la guerre, et donc ça favorise la chance d’avoir une descendance. Il aurait été plus judicieux d’avoir des gènes qui favorisent l’entente entre les différents groupes mais c’est ce gène là qui s’est installé dans la population en premier, je suppose. Peut être que d’autres ethnies sont plus naturellement dans la coopération, se faisant avoir face aux ethnies qui sont dans la recherche de puissance! Ça n’est bien-sur qu’une hypothèse.

Et dans chaque camp va se former des gens qui vont critiquer ceux qui font de petites batailles inutiles contre l’ancien ennemi par rapport à ce nouvel ennemi plus fort qui nous menace tous.

Effectivement j’ai l’impression que par nature notre esprit va chercher un ennemi si il n’en existe pas un. Je ne pense que cette manière de voir ne s’applique pas à tous, mais je trouve qu’elle s’applique assez à moi même, et je crois souvent à des personnes à la tête des états. Dans cette situation mondiale, ça pose problème, car il faudrait tous s’unir pour éviter les coups bas entre les grandes puissances, pour s’assurer que chaque grandes puissances va bien économiquement et qu’aucune ne dépassent économiquement et militairement aucune autre et cette psychologie est un frein à cela. Je pense que c’est très difficile à réaliser, il faudrait commencer par demander aux stratèges militaires leurs avis sur cette question, car eux connaissent la stratégie de guerre économique et de guerre réel, ils sont donc bien placés pour trouver des moyens d’entente pour éviter qu’un soit plus forts que les autres.

Il faudrait donc faire des ententes entre grands blocs pour s’assurer qu’aucun ne prennent le dessus militairement et économiquement.

Sinon on va vers des guerres, vers la pollution car on voudra optimiser notre économie au max pour rester dans la course, on ira vers des catastrophes.

L’idée qu’il peut se former plusieurs groupes du point de vue de l’évolution

Je pense qu’il peut se former des groupes génétiquement parlant si par exemple l’humain a intérêt à se scinder en deux groupes: par exemple les ingénieurs et les caissiers, dans ce cas, les caissiers vont tomber amoureux des caissières et vice versa et le ingénieurs filles vont tomber amoureux des ingénieurs garçons et vice versa car ça permet de garder des gènes bien utiles pour nous. Notre société a effectivement besoin à la fois de caissiers et d’ingénieurs.

Il y a un intérêt à chacun et à la population à ce que nous soyons différents et ça passe, je pense, sûrement en partie par les gènes.

Bien-sûr je prend l’exemple du caissier et de l’ingénieur mais en réalité on a évolue avec d’autres spécialisation ces derniers millénaires, comme agriculteur ou forgeron.

A vrai dire l’idéal serait qu’en fonction du contexte, les gènes de l’agriculteur ou les gènes du forgeron s’activent par exemple durant l’enfance en fonction du contexte, du fait qu’on est riche, qu’on reçoit un formation importante ou pas. Ça s’applique à notre cerveau et à nos mains qui peuvent s’adapter facilement à presque tout assez facilement. Pour les animaux, il a fallu de nombreux gènes pour s’adapter à être un fourmilier ou être un butineur, du coup ce raisonnement ne s’applique pas aux animaux chez qui il faudrait garder de coté de nombreux gènes pour être à la fois butineur et fourmilier, ce qui pèserait dans l’entretient de l’adn.

Ça c’est si on se base sur l’idée prédominante des gènes dans le rôle de nos passions. Il semble être intéressant que les passions varient en fonction des individus, ça permet que chacun se spécialisent dans tel ou tel métier. Mais il est possible que des phénomènes chaotiques dans notre cerveau fait que durant notre jeunesse nous nous passionnons pour certaines choses et d’autres non. Je crois qu’en général la biologie favorise les équilibres, et que dès qu’un problème se pose sur notre corps, que ce soit biologique ou psychologique, un retour à l’équilibre s’effectue en général. Mais pour les passions, si elles doivent varier d’individu en individu, il faut un mécanisme chaotique plutôt qu’un mécanisme qui ramène à l’équilibre.

Les personnes ayant un trouble de la personnalité antisocial

C’est connu en médecine et en psychologie, il y a des gens qui ont plus facilement tendance à mal se comporter. C’est sûrement parce qu’ils n’ont pas conscience du mal qu’ils font, ayant du mal à ressentir ce que ressentent les autres, et qu’à la fois ils sont en colère contre tout.

D’ailleurs la thérapie les soignant peut consister à mieux expliquer à la personne ayant un trouble antisocial qu’elle fait souffrir les gens dans telles situations. Ça leur est efficace pour prendre conscience qu’ils sont dans le faux.

Effectivement si il y a des gens qui se comportement mal à la tête de certaines entreprises, il y a des chances qu’ils aient un trouble de la personnalité antisocial.

La personnalité paranoïaque (des gens très méfiants, très susceptibles, souvent mégalo et se comportant odieusement très souvent, d’une mauvaise foi inimaginables) sont aussi, d’après ce que j’ai entendu dire à plusieurs reprises, souvent à la tête d’entreprises (bien qu’une partie de ce comportement puisse être acquis face à la dureté de la concurrence quand on est chef d’entreprise)

Ils sont de mauvaises foi car il choisissent ce qui les arrange sans se rendre compte que ça pose problème. Pour eux, c’est normal que la justice s’applique quand ça les arrange mais quand ça arrange les autres, ils n’arrivent pas à se rendre compte que c’est injuste.

Ainsi je crois comprendre les lobbyistes avec qui je me suis battu sur Wikipédia: C’est peut être juste des gens persuadés qu’on met des bâtons dans les roues de ceux qui créent le progrès, le manque de capacité d’empathie leur empêche de se rendre compte que les coups tordus qu’ils m’ont fait et qu’ils ont fait à bien d’autres participants de Wikipédia sont injustes et les font souffrir.

Pour ce trouble de la personnalité paranoïaque, ils ne se rendent pas compte qu’ils sont en tort quand ils sont en tort et c’est même eux qui sont en colère contre toi, et rien n’arrive à les raisonner.

Je pense qu’il faudrait vraiment soigner ces gens. La psychologie actuelle fait déjà des miracles sur pas mal de trouble de la personnalité comme la personnalité antisocial. Malheureusement, je crois qu’on soigne mal le trouble de la personnalité paranoïaque car ils ne veulent pas se soigner me semble t’il et il n’y a pas de traitement très efficace.

Boris Cyrulnik avait longtemps recherché dans ce domaine. Il voyait que les enfant non sécure (ceux qui ont eu une enfance dure sans figure d’attachement, c’est à dire une personne humaine douce avec lui qui peut le rassurer) ou que les enfants dont la mère enceinte a eu un important stress, sont des enfants qui tapent, tirent les cheveux, se vengent fortement dès la créché, et deviennent souvent de mauvais adultes. En les encadrant bien et en leur fournissant une figure d’attachement, en leur faisant communiquer, ces enfants reviennent bien dans la normale. C’est ce que raconte Boris Cyrulnik dans la vidéo nommée "psychologie de la violence, dialogue avec Boris Cyrulnik", il était neuro psychiatre et a aussi énormément publié sur le sujet. Ces quelques 5% de garçons qui mordent, frappent, crient (il n’y a que 1% de filles ainsi) sont quand ils sont adultes, des bons candidats à être soldat! Les armées du monde entier piochent dans ce stock pour former leurs armées. Il serait bien qu’à l’échelle mondiale on se coordonne pour que ces enfants soient protégés, accompagnés, soignés, ainsi ça diminuerait les stock de soldat à l’échelle mondiale et ça rendrait plus difficile les guerres.

Il y a d’autres pathologies où les gens sont paranos, comme dans la schizophrénie, mais la majorité du temps, ces gens là sont gentils, voir même plus gentils que les autres et fréquemment trop handicapés pour être chef.

Pour moi, tout ces troubles ont des chances d’être des maladies biologiques qui dérèglent le cerveaux. C’est un domaine sur lequel j’ai recherché. Donc, avec une bonne recherche scientifique on peut espérer une solution pour eux. Il peut y avoir aussi des causes de ce comportement dans le vécu bien-sûr.

Et puis le fait qu’on a tendance à s’imaginer que les gens qui agissent mal dans ces entreprises qui se comportent mal sont des gens très mauvais est parfois injustifié je suppose. Il est possible que parfois des gens ayant une morale assez poussée soient amenés à mal se comporter dans certaines situations. Ce que dit ma théorie sur l’évolution des entreprises, ce n’est pas que des gens immoraux prennent le pouvoir dans les entreprises, c’est que des mauvais comportements risquent de finir par se mettre en place dans les entreprises si ces comportements sont rentables parce qu’il y a une sélection de ces entreprises. Ça ne dit pas comment va se mettre en place ce mauvais comportement de l’entreprise.

Aussi quand on est embrigadé, on n’ose pas s’opposer à l’avis principal dans notre groupe. Par exemple, si dans une entreprise tous n’hésitent pas à faire du marketing un peu démagogique pour vendre leurs produits, il va être très difficile d’oser leur dire que c’est mal. Et ça d’autant plus que si ils ne le font pas l’entreprise a des chances de couler sur le long terme: On n’oserait donc pas nuire à nos collègues!

Des trous du cul capables de tuer la réputation de certains par les rumeurs dans les milieux médicaux ou de prendre le contrôle de Wikipédia en humiliant les gens qui s’opposent à eux détruisant ainsi des recherches qui pourraient aider des millions de personnes, ça parait impensable. Pourtant je crois que ça existe. Certains sont à la fois très énervées, et ne comprennent pas qu’ils sont en tort et qu’ils font du mal aux autres. Le mélange de ces deux caractéristiques amène à de sales comportements.

Quand une personne trébuche sur un cailloux dans la foret, si elle est déjà un assez énervée, elle va insulter la cailloux. Quand une personne énervée trébuche sur une autre personne, elle pourra être énervée, mais généralement, elle va se reprendre, se calmer et parler poliment car on a conscience qu’on est en tort, que l’autre va avoir peur si on s’énerve. Quand on est très antisocial ou avec un trouble de la personnalité parano, on agit de la même manière avec la personne qu’avec le cailloux en forêt, car ces gens n’ont pas le ressenti de faire du mal comme les autres l’ont en général. Un humain sur lequel il trébuche est comme une pierre, c’est un truc qui l’empêche de progresser, donc on peut l’insulter. C’est ça qui explique leur comportement. Après il faut savoir que des psychothérapies existent et peuvent être efficace. Je ne tiens pas à condamner ces personnes et puis parfois ça s’arrange sans intervention médicale. En particulier le trouble antisocial s’améliore très souvent et très fortement passé 40 ou 50 ans.

Je crois aussi que ces gens ont peut être moins fréquemment conscience qu’ils sont en colère car ils ont de plus faibles capacités d’introspection, c’est liée aux capacité de compréhension des autres et de soi même. Je crois qu’à cause de ça, ça ne les dérange moins d’être en colère!

Ils me semble aussi que ces gens là se vengent de manière sournoise, sans expliquer pourquoi ils se vengeant, il font un coup tordu et s’en vont. Ils ne se rendent pas compte qu’en se vengeant de manière juste en expliquant les torts, ils pourraient faire comprendre à l’autre l’origine du problème et faire cesser le conflit. Du coup ils créent des conflits. Certains, parfois sont assez malins pour éviter les embrouilles et s’enrichir. Je crois que c’est parce qu’ils ont un manque de compréhension des autres qu’ils agissent ainsi.

N’ayant pas conscience qu’elles vont provoquer la colère en se vengeant, elles n’ont pas de stress à mal se comporter à s’opposer. Tandis que ceux qui punissent ceux qui se comportent mal, eux, si ils ont une morale auront tendance à s’inquiéter de cela, c’est pour ça aussi que le combat est déséquilibré. Ceux qui sont mauvais sont parfois des machines de guerre, rien ne les arrête.

Quand des patrons tirants crient, s’égosillent sur les employés qui n’ont rien fait de mal ça s’explique par deux phénomènes dans la tête de ces patrons:

• Ils ne se rendent pas compte que leurs cries font souffrir l’employé qui lui a peur de répondre, a peur de perdre son travail, a peur de blesser le patron en lui répondant, le patrons ne se rend pas compte que c’est injuste. La pression de la gestion de l’entreprise est parfois énorme, il peut arriver je suppose que la logique dans ce comportement est le suivant : Je souffre, pourquoi ne souffrirais tu pas toi aussi ?

• Il est énervé et, étant un peu parano il s’imagine que son employé fait des mauvaises actions exprès pour empirer la situation. Du coup, le patron ne se sent pas en tort. Bien sûr tout les patrons ne sont pas comme ça! Une bonne partie des patrons ont un comportement normal voir parfois très bon. Mais ça reste trop courant.

Nous on a conscience que ça fait du mal à la personne si on fait ça. Il y a donc quelques chose qui s’est passé dans notre esprit pour qu’on se rende compte de cela. Si il n’y a pas ce phénomène de prendre conscience qu’on fait souffrir, il n’y a pas la bonne réaction.

Globalement ils me semble qu’ils ont moins la capacité de ne pas faire au autres ce qu’on aimerait pas qu’on leur fasse parce que justement ils s’en rende moins compte.

On peut lui faire comprendre en lui expliquant: vous n’aimeriez pas qu’on vous fasse souffrir ainsi? alors ne faites pas souffrir les autres ainsi.. et ça marche un peu.

Mon but n’est pas d’humilier ces gens là ou de les montrer du doigt, ou même de dire qu’ils ne devraient pas exister, mais d’expliquer ce qui leur vient à l’esprit à ces moments, et que des gens agissant mal existent, et que possiblement ils se concentrent un peu dans certains groupes par ce phénomène de sélection.

Les gens ayant un trouble paranoïaque sont aussi souvent mégalo et c’est pour ça qu’on va les retrouver plus à la tête des entreprises, car ils ont lutté pour atteindre leur objectif un peu mégalo: devenir le chef.

Oui il y a un danger à ce que ces gens se retrouvent concentrer aux pouvoir. Ils ne comprennent pas en quoi ça pose problème que les tyrans dirigent , car justement la souffrance des autres les alerte moins. Du coup si un système politique, un peu comme celui des États-unis, promeut ces gens là tout en haut de l’état, ça risque de les favoriser partout dans les directions.

C’est une forme de souffrance pour les mégalos de ne pas réussir à atteindre leur objectifs, une frustration, une gène, une profonde insatisfaction. C’est parce que je suis un peu mégalo et que je souffrais un peu de ne pas me voir un destin important, que je souffrais de ne pas laisser de trace sur terre que je sais qu’il y a des gens qui sont ainsi.

Pour les lobbyistes et ces gens puissants il y a le danger qu’ils gardent une grande motivation à faire des grandes choses même après avoir été puni, du coup il faut s’autoriser à les surveiller pour s’assurer qu’ils ne recommencent pas les mêmes coups.

Évidement je peux pas affirmer que les milliardaires qui possèdent les médias sont dangereux et mauvais. Mais d’une part, ils ont des chances plus élevée de l’être par mon argumentaire . D’autre part, il n’y a aucun raison morale que quelques milliardaires décident du contenu des informations qui nous parviennent, ce doit être à tous de décider de cela.

Je crois qu’il y a course entre les grandes familles milliardaires et les milliardaires pour le plus d’argent: Je crois qu’ils ont peur de se faire dépasser et sont ainsi prêt à faire tout les coups tordus dont dénigrer les présidents concernés dans leur médias.

C’est similaire à l’hypothèse de la reine rouge, dont le nom est inspiré de roman d’Alice au pays des merveilles : Alice est sur un tapis roulant si elle continue de courir elle reste à la même place, mais si elle s’arrête, elle est emportée. Les riches, les entreprises, les pays sont condamnés à faire une course similaire pour garder leur place, leur statut et c’est ça le problème, où ça va nous mener ?

Mettre la vidéo et le livre de la dame qui parlait des riches anciens aristocrates qui étaient en contact avec les médias.

En tout cas je pense que la peur de se faire dépasser et la peur de manquer d’argent (c’est une réelle pathologie psychiatrique) est très fréquent chez les très riches. parler de la vidéo YouTube de fou de Normandie

D’un autre coté, avoir des gens sévères à la tête du pays, ça permet à son pays de préparer sa force et sa défense donc ça peut être utile lors de l’arrivé d’une guerre. Mais la guerre n’est pas non plus une solution et il faut plutôt des accords de paix entre les pays d’où l’idée qu’il faut à la fois des gens méfiant et diplomate à la tête de l’état.

Je crois que certains puissants comprennent pas que si leur pays se comportent mal envers les autres, c’est tout à fait normal que les autres se comportent mal avec eux et qu’ils soient mal aimé. Ainsi ils s’attaquent aux autres et ne se rendent pas compte que la réponse violente en face était justifiée, du coup ils attaquent encore plus fort et ainsi de suite, ça fait monter les haines. C’est vrai que je pense aux États-Unis pour leur guerre économique, d’autres penseront à la Russie. Moi je pensais beaucoup à la Russie à un moment, car je voyais de très nombreux messages à la fois pro Russe et franchement raciste sur internet, ce qui m’a inquiété sur leur capacité à faire du lobbying chez nous. Finalement, je crois qu’on a réussi à lutter contre ce lobbying. Maintenant je crois que les américains font pareil mais en plus discret, en infiltrant les médias de France et peut être d’Europe. À moins que ces impressions soient dues aux algorithmes des réseaux sociaux qui mettent des contenus qui correspondent à ce qui nous inquiète, ce qui donne l’impression que ce qui nous inquiète est bien réel.

La peur que tous peuvent mal se comporter

Le soucis c’est qu’il est difficile pour l’humain de discerner, de ne pas faire des amalgames. Quand on sait qu’il y a des gens vraiment comme ça, on est tenté de penser qu’il y en a partout dans les institutions. C’est un peu désespérant. Ou inversement les gens pensent que dans toutes les organisation de l’état ça se passe bien surtout quand est au pouvoir le parti politique auquel on croit! Alors qu’en réalité c’est très hétérogène.

Alors du coup, si on est un peu parano comme parfois moi je peux l’être, on peut avoir l’inquiétude que tout le monde se comporte mal dans ce monde, et que ça va être le chaos.

Une des idées qui pallient à cela est qu’en réalité la plus part des gens ne se comportent pas mal et c’est logique car en général on a à y perdre à mal se comporter à cause des possibles vengeances qu’on risque de subir (donc l’évolution n’a pas favorisé ces comportements).

Meydi à mettre :Un système dissident ponctuel permet de détruire un système sclérosé et oblige à en reconstruire un plus adapté.

Mais il est vrai aussi qu’il y a des phénomènes de filtres, dans les entreprises, les partis politiques, les institutions qui peuvent permettre de concentrer des gens qui se comportent mal.

On est naturellement bon pour la plus par des gens, c’est important de le préciser car quand il y a un groupe de gens mauvais réunis, c’est souvent qu’il y a eu filtre et sélection concentrant ces gens. Et c’est comme ça qu’on peut lutter contre cette situation, c’est en supprimant ce filtre. C’est l’évolution qui nous a rendu bon. En réalité on n’est si bon que ça: on tue les animaux pour les manger, c’est pas génial. Mais envers les autres humain on est généralement bon car, à cause de la vengeance des autres, on a toujours intérêt à bien se comporter, du coup l’évolution a sélectionné les gens se comportant bien… Du moins dans un village ou tout le monde se connaît et en dehors des entreprises qui créent un phénomène de protection/d’anonymat face à certains type de coup pourris.

L’évolution favorise que nous soyons amis

De plus si ces gens ont des même gènes proches des nôtres, il est logique, du point de vue de l’évolution que nous soyons amis (je pense que les différentes ethnies humaines sont très proches génétiquement et ça se confirme pour la très grande majorité des gènes). En effet comme les gènes perdurent sur énormément de générations, il est logique que les individus qui protègent les membres de la même espèce, même extrêmement éloignés, favorisent leur descendance, donc que les gens ayant des gènes qui permettent à leur psychisme de vouloir sauver tout autre humain favorisent leur descendance. Donc ces gènes ont été sélectionnés au fil des générations. Malheureusement on est génétiquement loin des animaux, et on n’a plus bien de pitié pour eux, ci bien qu’on les tue pour les manger. Bien que par de manière innée on ne soit pas près de tuer des animaux pour en manger leurs viandes, il me semble que c’est l’appétit pour la viande quand on en mange un peu qui est je crois génétique (en témoigne que la majorité des animaux sont soit végétariens, soit carnivores, soit omnivores) qui nous pousse à les tuer pour les manger.

Être outré des mauvaises pratiques, de s’en souvenir, et d’alerter ses amis permet de se protéger notre espèce et c’est pour cela que nous sommes faisons ainsi!

Il peut aussi se dérouler un phénomène inverse: les groupes qui obtiennent un gène qui provoque la méfiance envers les autres groupes vont plus y gagner. Ça permettra de prendre le dessus économiquement sur l’autre groupe qui est moins méfiant (par exemple un village voisin). Mais ça ne sera que temporairement, car quand le groupe va se propager à d’autres villages, les villages vont se fâcher. Globalement, donc, les porteurs de ce gène qui tend à rendre méfiant envers les autres groupes vont d’abord y gagner, puis quand ce gène sera très répandu, vont y perdre si il se crée des sous groupes. Par contre si au même moment il se met en place:

• Un gène qui permet de reconnaître ceux qui ont ce gène entre eux

• Et un gène qui favorise le comportement de protéger les gens qui ont ce gènes. Alors dans ce cas ces individus vont se protéger et ça va toujours les favoriser, mais il est improbable que ces deux caractéristiques se mettent en place en même temps.

En plus, sur le plan de l’évolution, on ne fait pas de mal aux autres aussi parce que faire du mal aux autres provoque une vengeance. Là aussi ça apporte un avantage à avoir plus de descendance!

Sur le plan humain on ne fait pas de mal aux autres car on ressent la souffrance des autres à ces moments, et parce qu’on s’inquiète des conséquences! C’est là qu’on voit que l’évolution nous a amené à une certaine psychologie, en utilisant des astuces assez étonnantes mais efficaces pour que nous maximisions notre descendance.

On se comporte en ne faisant pas aux autres ce qu’on aimerait pas qu’on nous fasse. Du moins pour certains, tant qu’on se fait pas attraper:)

On a aussi intérêt, quand on a une envie contraire à ce qui est socialement accepté, de se mentir et de croire qu’on n’a pas cette envie. L’avantage de faire ainsi est qu’on arrive mieux à cacher aux autres qu’on a une volonté contraire à eux. C’est peut être ça l’origine évolutionniste de la notion psychanalytique de refoulement: cacher au mieux des intentions qui pourraient paraître mauvaises au groupe mais bénéfiques à nous même puisqu’on se les cache à soit même.

Ces bonnes caractéristiques risquent sur le très long terme de ne pas perdurer

Donc l’humain se soucie à la fois de son destin, de ses problèmes et de celui des autres, car ces caractéristiques ont permis de protéger nos groupes lorsque nous étions des hommes des cavernes ou que nous vivions dans de petits villages.

Dans les villages ou les petits groupes dans la préhistoire, les coups tordus qu’on faisait aux autres étaient néfastes pour celui qui le faisait car il n’y avait pas d’anonymat, tandis que maintenant dans les villes, ils ont plus de chance d’être gagnants, en plus, parfois les entreprises récompensent ces mauvais coups. Avant quand on faisait un coup tordu, on était fiché, catégorisé par les anecdotes qui circulaient dans le village et les autres avaient des réticences à coopérer avec nous après. Dans une grande ville, on est fiché que par celui à qui on a fait un coup tordu, il n’y a donc moins de raisons que les coups tordus soit néfastes à ceux qui les font, donc les gens ayant ce comportement devraient plus facilement se propager de générations en générations. Mais en vrai c’est un phénomène long à mettre en place, sur de très nombreuses générations, cependant l’existence de grandes villes depuis environ 500 ans a peut-être déjà un effet évolutionniste sur nos gènes dans ce sens. Avec l’argent et les entreprises ça augmente encore sûrement un peu la capacité à y gagner en étant néfaste sans être puni dans pas mal de situations. À noter que l’influence de ce qu’on apprend par nos parents, par exemple si ils nous apprennent à nous méfier des autres et à les arnaquer si on n’a pas le choix est une manière de faire hériter ces caractères de manière plus rapide. Oui mais si en plus la génétique s’y mêle, il sera encore plus difficile de revenir dans une situation saine.

Logiquement on évoluera vers l’égoïsme si on est dans une société ou l’altruisme n’est pas récompensé.

Je redoute que de tels changements dans la psychologie de tout les gens au fil des générations nous mette dans des situations catastrophiques, avec des dictatures partout!

C’est parce que certains sont super altruistes, ont conscience qu’il faut protéger la démocratie qu’ils la protègent. Il y a aussi une notion d’inquiétude pour le futur, ceux qui veulent aller au pouvoir sont inquiets pour le futur de leur nation. Ils sont peut être mégalos, et ont soif de pouvoir, mais je crois que bien souvent les politiques ont vraiment envie d’améliorer les situations face à une inquiétude, qu’elle soit justifiée ou non. J’avais vu un psychiatre interviewé sur ce sujet qui confirmait cette idée.

Comment faire en sorte que ces bonnes caractéristiques nécessaires à gérer un état perdurent au fil des générations à la fois dans la population et à la tête de l’état? Question à laquelle je n’ai pas pour l’instant de réponse. On peut aussi amener dans les écoles une éducation altruiste : expliquer que si tous se comportent bien, alors on y gagne tous, donc commençons chacun à bien se comporter ! Aussi, il faudrait faire attention que l’humain évolue vers un vrai altruisme qui favorise les êtres vivants et pas uniquement l’humain. Ça serait bien qu’on protège mieux les animaux.

Pour avoir réfléchit à l’évolution, il faut généralement plusieurs milliers d’années, soit quelques centaines de générations pour qu’un gène s’installe dans une population totalement. Donc ce risque est peut être lointain à moins que ce genre de caractère pour la partie fixée par les gènes soit multigénique: qu’il y ait de nombreux gènes qui favorisent ce comportement, dans ce cas l’évolution du caractère des gens est beaucoup plus rapide, je m’explique:

Le temps entre l’apparition d’un gène dans une espèce animale et sa propagation à l’espèce totale est très long si bien qu’on est encore des individus adaptés à l’age préhistorique. En effet si un gène donne un avantage sélectif de 1%, il faut un nombre de générations n telle que: Taille de la population = 1.01 puissance n. Pour l’espèce humaine et ses 7 milliards d’individus, il faut 2000 générations soit un nombre d’année de l’ordre de 80 000 ans entre le moment où un gène bénéfique apparaît, si il donne 1% de chance supplémentaire d’avoir des enfants, et le moment ou toute la population a ce gène. Du coup on porte encore les gènes adaptés à la vie avant la civilisation en bonne partie. Il est aussi possible que sur les caractères psychologiques des combinaisons de gènes interviennent. Ça parait logique puisque la distribution dans la population de certains paramètre psychologie, comme l’agressivité, la dépression et bien d’autres, suit une distribution de Gauss (si vous préférez une distribution étalée: beaucoup de gens sont moyennement agressifs et très peu sont très peu et très agressifs). Et donc si ce sont des gènes assez répandus dans la population ils mettent peu de générations à complètement se répandre, contrairement à si on commence avec un seul individu. Je parle des gènes, mais bien-sûr il est bien possible que des caractéristiques psychologiques s’héritent de parents à enfants ou dans une population par la parole et le comportement. Mais je crois qu’une partie du ressenti et donc du comportement reste favorisé par les gènes ou les maladies, même si la plus part des gens sans maladies psychiques ont des ressentis similaires. Par exemple, par défaut si ils vivaient dans le même environnement ils auraient des niveau d’agressivité similaire. C’est ce que je crois.

Les gens qui sont trop gentils le sont car ils trouvent les arguments pour dire que l’autre personne mérite d’être bien récompensé tandis que les autres trouvent les arguments pour dire que non. Et c’est ainsi que dans les négociations les gens gentils se font avoir, hors beaucoup d’aspects très important de la vie se fixe par négociations dont le salaire. Là aussi il y a une certaine injustice.

Ça pourrait être une course de l’évolution entre ceux qui se comportent mal et qui y gagnent et ceux qui essaient de pas se faire avoir en détectant chez ces gens là voyouterie pour les fuir, ceux ne détectant pas la voyouterie se feront avoir, auront moins de descendance.

Il faudra dans le futur faire en sorte que les gens ne mutent pas dans le mauvais sens, ne dégénèrent pas, faire en sorte que génétiquement ils ne soient pas des parasites pour les autres. Pour ça il faudrait agir si on est sûr qu’il y a réellement un problème d’évolution qui nous menace. Il faudrait établir une carte génomique de la population mondiale et voir comment elle évolue au fil des génération. Il faudrait aussi trouver les gènes (si ils existent) qui favorisent tel ou tel comportement chez les gens valides, puisque les non valides ne représentent pas une menace pour la démocratie, et puisque c’est peut être une autre maladie biologique qui provoque ces effets la chez les gens non valide. Et éventuellement, après plusieurs dizaines, voir centaine, d’années d’observation et l’assurance qu’on ne se trompe pas, si vraiment le problème est lourd et nous amène à la catastrophe, faire en sorte de changer les gènes des enfants à naître si la technologie le permet, pour qu’on arrête d’évoluer dans le mauvais sens. Pour que ça soit bien fait, il faut des scientifiques de qualité, et faire en sorte que dans une institution on garde toujours des scientifiques de qualité est un vrai défi.

Pour voir si ce que je dit est vrai on pourrait faire le test psychologique suivant qui est un test connu : on fait tomber un billet de banque à une caisse en faisant croire qu’on s’en n’est pas aperçu, et on voit la proportion de personnes derrière qui le volent ou le rendent ? Ce test a déjà été réalisé et on voit qu’il y a dans tout les pays du monde environ 20 % de personnes qui le volent et un peu moins du reste le rendent. On pourrait faire ce test entre les très grandes villes et le petit village pour voir si il y a une différence. Cependant il y a un tel brassage au fil des générations entre les villages et les villes que ce test risque de ne pas montrer de différences. On pourrait aussi faire ce test en 2030 et le répéter en 2100, en 2200 etc.

La psychologie de la lutte des classes

On est outré par les injustices aussi parce que ça nous permet de garder une place dans notre société, de protéger les gens comme nous, et ça permet aussi de protéger la société! C’est ainsi que l’extrême gauche est outré des injustices sur la pauvreté.

Et je trouve qu’il y a des gens qui ne reconnaissent pas les injustices et qui du coup ne comprennent pas les pensées des gens d’extrême gauche. Il y a bien-sûr bien d’autre choses qui peuvent faire qu’on aime pas l’extrême gauche, mais la où je me reconnais dans ce mouvement, c’est qu’elle voit des injustices réelles et qu’elle veut lutter contre.

Le racisme, lié à certains traits psychologiques?

Il y a beaucoup l’idée que la gentillesse, la bienveillance ne sont pas innées mais appris en particulier par la religion chrétienne, ou par une autre religion quand on y participe. Par conséquent, ceux qui pensent ainsi risquent de penser que les non chrétiens ne sont pas bons. Je crois que c’est une des facettes du racisme contre les autres religions! J’avais vu qu’environ 30% des gens en psychothérapie tiennent à ce que leur thérapeute aient la même religion qu’eux. Je crois que c’est du à ce ressenti de ne pas partager des notions fondamentales avec les autres religions. Les athées peuvent aussi avoir une dent contre la religion et je crois que c’est un phénomène similaire: l’impression que les religions adhérent à des idées dangereuses (au fond on est tous d’accord ou presque pour bien se comporter!)

Pour parler avec pas mal de monde, j’ai remarqué que les gens un peu raciste on vraiment l’impression que les gens de couleurs n’ont pas de morale, pour connaître plein de gens de couleurs, c’est faux 🙂

On est programmé pour avoir pitié des autres quand ils sont dans une mauvaise situation. Quand on est en tort, généralement on s’en rend compte ou du moins en insistant on arrive à faire prendre conscience que l’autre est en tort si bien qu’il existe un mécanisme dans le cerveau qui permet de reconnaître quand on est en tort ou non.

Il y a une expérience qui montrait que les blancs avaient peur du visage des gens noirs: on avait pris des photos de gens blancs et de gens noirs, on avait blanchi le visage des gens noirs. Les gens blancs en voyant ces photos trouvaient majoritairement que les gens noirs blanchis avaient un visage plus agressif que les blancs. Je crois que c’est pour ça que je vois beaucoup de racisme chez les gens blancs, et à ma connaissance, assez peu chez les gens noirs: les gens blancs ont peur des visages noirs, leur donnant l’impression que ce sont des gens agressifs et sans morale. Une bonne partie des gens blancs, malgré cette peur vont se raisonner et comprendre que ça ne tient pas, mais pas tous, c’est mon hypothèse. Bien-sûr il peut exister du racisme contre les blancs, moi j’en ai rarement vu, mais j’ai des amis qui en on vu à plusieurs reprises.

Aussi il y a des études qui montrent que plus on a un nucleus accubens large (une partie du cerveau qui gère l’empathie, la compréhension des autres) plus on a pitié pour les gens de l’autre groupe que notre groupe. On a la même corrélation avec le QI et cette empathie mais moins marquée qu’avec la taille du nucleus accubens. Ainsi dans un match de foot avec deux équipes ayant des maillots de couleurs différentes, les gens ayant le plus petit nucleus accubens insultent beaucoup plus les gens de l’autre groupe. On imagine que ça peut être corrélé avec le racisme… mais en y réfléchissant bien, on peut sûrement pas faire grand chose pour agir sur la taille de ce nucleus accubens! Il faut d’autre mesures pour régler ce problème de racisme. Je pense à faire des médias sains, qui ne vont pas aller faire croire que tout les arabes ou noirs sont des voyous pour l’audience, des médis qui rappellent que la majorité de ces gens se comportent bien, et de faire des mesures pour mieux mixer les populations dans un même département.

Je comprend qu’on puisse avoir peur des gens arabes ou noirs si on regarde la télé et qu’on habite à la campagne, je n’ai rien contre ces gens là. Moi qui vie en ville avec beaucoup de gens noirs, je vois bien que la plus part d’entre eux même si il ne sont pas parfaits, ils sont généralement honnêtes et gentils de la même manière que les gens blancs.

Pour les histoire d’intégrisme religieux amenant à forcer les femmes à être voilée, il faut savoir que nombreux musulmans sont contre ce genre de pratiques et donc qu’il faut plutôt aider les musulmans n’aimant cela et les montrer dans les médias, plutôt que montrer ceux qui sont pour. Ça aura un bien meilleur effet sur l’abandon de ces pratiques par les plus extrémistes. La religion musulmane étant sacrée, les gens musulmans ont un peu peur de s’opposer à ces pratiques, car ils ont peur qu’on les traitent d’anti religieux, je crois bien, pourtant ils n’en pensent pas moins.

Donc oui il y a des dérives dans les religions et le forçage du voile en est une, les gens même sans religion sont gentils. Et personne n’est contre les hétéro blanc chrétiens, je dis ça car l’algorithme de Facebook a donné cette impression a un ami en voyant des systématiquement des messages haineux contre les blancs.

Pour les rare gens qui sont vraiment racistes on peut leur expliquer en quoi le racisme c’est pas bien :

« Est ce que vous trouvez ça juste qu’on vous insulte parce que vous faites partie d’une ethnie d’une couleur de peau, alors même que vous avez toujours essayé d’être gentil avec les autres, qu’on vous accuse de méchanceté et d’être sournois. Non la plus part des gens noirs et arabes ne sont pas mauvais, je le sais, j’habite en banlieue et j’en connais beaucoup. J’ai eu autant de problèmes dans ma vie avec des voyous blancs qu’avec des voyous noirs ou arabes et c’est aussi le cas de nombreuses de mes connaissances. Je ne peux pas vous en vouloir de vous imaginer cela, mais la réalité c’est que vous accusez ces gens de sournoiserie alors même que la plus part ne veulent pas de mal. Ça les fait souffrir et c’est votre manque d’empathie et votre peur un peu parano à propos de ces personnes qui vous empêchent de voir que vous avez un mauvais comportement avec eux, un comportement qui les fait souffrir injustement en les accusant à tort. Est ce que vous aimeriez être accusé à tort ? Non ? Alors ne le faite pas sur les autres. » C’est le message que je passerais aux plus racistes, je crois que ça marche un peu pour les persuader, mais c’est pas fou fou non plus comme efficacité surtout sur les plus persuadés.

Les gens suivent les règles en général

Quand on choisi ensemble des règles à suivre, en général les gens suivent ces règles. Encore une fois ce comportement a un intérêt sur le plan de maximiser les chances d’avoir une descendance: Si on ne respecte pas ces règles on va être exclus, et les gens ne coopéreront plus avec nous. Si on respecte ces règles qu’on a choisi conjointement, alors on crée une forme de contrat qui va servir aux différentes partis qui suit ces règles, qui sont généralement utiles pour chacun.

Je prend un exemple tout bête, quand on fait cours à des adultes, le professeur peut demander la règle suivante: seuls les gens levant la main pourront parler et je ne fais pas cours à ceux qui ne respectent pas cette règle. Respecter cette règle va permettre que tout se passe bien, que le professeur ne soit pas interrompu et que tous y gagnent!

Je pense que génétiquement on est programmé pour respecter ces règles. C’est parce que de manière innée on comprend que faire un contrat tacite est utile aux différents partis, qu’aujourd’hui on fait des contrats écrits! Ça fait parti de notre psychologie.

Aussi, et ça a été confirmé par des études: la plus part des gens respectent les règles même si ils savent qu’ils ne se feraient pas prendre.

Les gens suivent ce que les autres font en général

Généralement ce que les autres font est une bonne chose sinon ils auraient arrêté de le faire.

Et ça, que ce soit parce qu’ils suivent les règles de la société ou qu’ils évitent certains dangers! C’est un phénomène naturel que de copier les autres.

J’ai cette particularité de très peu copier les autres, et effectivement il m’arrive pleins d’emmerdements!

Faire des généralités facilement

Je pense que c’est un trait psychologique des gens paranos dont je peux être parfois. Bien sûr j’ai conscience qu’il ne faut pas que je fasse de généralités trop hâtives, mais malgré ça dans un moment parano, je peux voir un PDG mal agir et penser que tout les PDG agissent mal. Je pense que c’est le même phénomène quand un mec un peu raciste voit un noir mal agir et pense que tout les noirs agissent mal ou qu’un mec plutôt à droite voit des gens à gauche agir dangereusement pour l’économie et pense que tous agiraient ainsi. Le soucis des médias aujourd’hui est qu’ils jouent sur ces caricatures pour faire de l’audience et on se fait piéger à faire ces amalgames.

Faire des généralités est un phénomène normal et généralement utile: par exemple si on se rend compte que chaque fois qu’on sent une marguerite, elle sent une certaine odeur, on va se dire que toutes les marguerites sentent cette odeur… Et on aura raison. Mais faire des généralités sur les groupes de gens est beaucoup plus hasardeux, mais là aussi ça peut être utile: par exemple qu’il faut respecter particulièrement tout les hommes en uniforme qui peuvent être des policiers ou des militaires!

Globalement pour les gens vraiment trop dans les généralités extrêmes que je viens juste de décrire, je pense que derrière il y a une sensibilité parano, avec la peur qu’un groupe dans la population représente un danger. Si après étude, on se rend compte que ces gens paranos posent vraiment problèmes, il serait intéressant de les soigner avec leur accord.

Pour le fait de faire des généralités, je crois qu’une partie de la population ne se rend pas compte que ce genre de raisonnements tient pas toujours la route. Par exemple je connais une amie qui est assez intelligente mais croit aux signes astrologiques, on pourrait se dire pourquoi pas? Mais si on considère les règles de la physique, on se rend compte qu’il n’y a de raisons suivant ces règles que des gens nés tel mois soit plus comme ci ou comme ça (sauf peut-être pour des raisons biologiques d’ensoleillement de la mère en sainte qui varie par exemple… comme quoi des techniques ancestrales ont pu évolués vers une certaine vérité). Il n’y a pas de raisons physiques que la position des planètes influence notre comportement du jour, et certaines personnes pourtant assez intelligentes ne remettent pas en question ce genre d’amalgame qu’ils font, ils ne comprennent pas que ces généralités ne tiennent pas la route.

À vrai dire les lois de la physique n’ont pas de raisons d’être vraies plus que les lois de l’astrologie. Par contre, Évidement par l’observation les lois de la physique semble régir le monde, on l’observe tout les jours.

C’est aussi ce que j’ai vu en médecine, certains médecins fonctionnent par amalgame, ils appliquent les règles qu’on leur a apprise, sans aller chercher profondément dans les raisonnements. Du coup si il y a des découvertes récentes non reconnues par la communautés médicales, ils vont d’abord s’opposer car on leur a fait comprendre que tout ce qui n’était pas reconnu par la plus part des médecins était faut, hors au début une découverte est quasiment toujours pas reconnu par la majorité des médecins. Il pense comme ça plutôt que de réfléchir si il y aurait une raison physique, chimique et biologique ou non pour laquelle ce serait juste.

Aussi parfois les gens ont envie de croire à certaines idées, croyances, à un Dieu car ça les rassure, ça crée chez eux un espoir pour le futur.

Tout comprendre dans le détail ne donne pas plus de descendance en général

J’essaie toujours de comprendre un phénomène complètement, mais ça me prend énormément de temps et souvent ça n’est pas utile. Du coup les gens qui font comme moi ont sûrement moins de chances d’avoir une descendance. C’est ainsi que j’étais classé dans les 20 premiers sur 1800 élèves au premier semestre de ma première année de médecine: Je cherche à comprendre. Effectivement, pour la première année de médecine comprendre la biologie, la physique la chimie, l’histologie permettait d’avoir de vrais bonnes notes, les examens sont des exercices où il faut comprendre. Là où la suite de la médecine, c’est du par cœur. La majorité des gens ne cherchent pas à tout comprendre dans le détail.

Je pense que certaines personnes ont ce génie de comprendre que dans un raisonnement il y a des raccourcis qui sont faits, et que si on comprend en quoi ces raccourcis sont pas vraiment exactes, si on arrive à résoudre ces raisonnements complexes qui nous poussent à faire des raccourcis, alors ça apportera un plus, un nouveau domaine. C’était le cas par exemple de la physique quantique ou la théorie de la relativité. Avant ces théories, on avait d’autres théories qui marchaient pour la plus part des choses, mais pas pour tout. Ces anciennes théories étaient des approximations de la réalités et faisaient de mauvaises estimations dans certains cas. Des gens ayant la capacité de comprendre que des raccourcis étaient faits, ont réussi à créer des théories plus proches de la réalité!

Un autre exemple de raccourci vraiment basique est de penser que les entreprises sont juste une chose bien ou au contraire une chose mauvaise. Et bien moi je vais plus loin, et j’essaie de comprendre en quoi c’est bien, en quoi c’est mauvais et comment empêcher le coté néfaste. J’essaie de comprendre le mécanisme derrière, le raisonnement quand il est posé parait simple, mais il fallait le faire, et l’avoir fait permet de mieux y voir pour mieux légiférer.

Encore un autre exemple est la théorie de l’évolution, l’idée que les espèces évoluent, dans ce cadre, un raccourci est de penser que tout les individus d’une espèce animale ou végétale sont tous à peu près pareil à un instant T. Une amélioration de ce raisonnement est de comprendre que se déroule l’évolution en prenant en compte chaque individu de l’espèce… et en comprenant comment ça marche on peut comprendre comment se sont mis en place des organes, des fonctions du corps, pour ainsi mieux comprendre pourquoi on tombe malade et ainsi mieux les soigner!

C’est la capacité de me voir que quand on modélise un phénomène, le modèle créé ne correspond pas parfaitement à la réalité, car je sais qu’il y a une réalité différente. Et je vois que dans certains cas la prédiction du modèle peut être éloignée de la réalité. Du coup je sais quand une idée scientifique circulant dans la population des médecins par exemple, a des chances d’être un dogme ou une réalité. Là où de nombreux médecins qui ont appris par cœur sans comprendre se feront avoir par les dogmes et rumeurs qui circulent. C’est mon impression sur une partie des scientifiques : quand c’est dit dans les livres et dans la majorité de la communauté c’est forcément vrai sinon c’est faux.

Cependant en tant que médecins, on n’a pas le choix, il faut principalement suivre les pratiques répandues, car sinon on risque de faire n’importe quoi. Par contre pour les patients en impasse thérapeutique je pense qu’on peut se permettre de tenter des choses.

Les gens ayant un QI de plus de 130 ont souvent de mauvaises capacités sociales

Apparemment les gens avec un qi de 130 ou plus ont soit des capacités sociales moyennes ou faibles, soit normales, et cette capacité se voit au scanner! Il y avait une étude qui montrait cela.

Peut être que si une partie des gens haut potentiel sont socialement pas très forts, c’est parce que ça donne un sacré désavantage sélectif d’être conscient des problèmes des autres, intelligents et intéressés par l’intérêt général (bien souvent les gens intelligents cherchent l’intérêt général). Car on perd un temps fou à s’inquiéter pour les autres. Donc l’évolution aurait fait en sorte que quand on a un QI élevé ont a souvent peu de capacité à se mettre à la place des autres.

Le fait qu’une partie des gens HPI ont des mauvaises capacités sociales explique peut être que les choses se passent un peu mal dans notre société.

Le fait de comme moi s’inquiéter trop pour le futur me donne un désavantage sélectif pour moi même mais un avantage sélectif pour le groupe, du moins je l’espère.

Les gens ayant un QI élevé ont moins de descendance

Je ne sais pas si c’est vrai mais il est connu que les gens haut potentiel ont bien souvent moins de descendance que les autres. Alors, étant donné que l’intelligence est en partie génétique, comment ça se fait qu’il y a toujours des gens haut potentiel? Je vous donne mon explication:

L’intelligence est multigénique, ce sont des très nombreux gènes qu’on doit avoir en même temps pour être intelligent! donc quand il y a fécondation, il y a une espèce de loterie, avec un peu de chance on va récupérer tout les gènes de l’intelligence de la mère et du père, avec un peu de mal chance on aura tout les gènes qui ne favorisent pas l’intelligence. Bien-sûr, en général on aura un peu de gène favorisant l’intelligence et un peu de gène ne la favorisant pas! Globalement il y aura une répartition en courbe de Gauss de l’intelligence dans la population! c’est à dire beaucoup de gens au QI moyen (autour de 100 de QI) et très peu au faible QI (moins de 70 de QI) et aussi peu au QI élevé (plus de 130 de QI).

Et cette répartition en courbe de Gauss assez large (avec un écart type assez important) de l’intelligence dans la population a un intérêt, elle permet qu’il y ait des gens passionnés par les choses complexes et qui perdent leur temps dans la réflexion et d’autres non. Ceux ayant une plus grande intelligence résoudront les problèmes de leur village, de leur groupe, là où les moins intelligents feront des taches à moindre impacte mais pourtant indispensables comme l’agriculture ou l’élevage.

C’est parce que cette répartition en courbe de Gauss de l’intelligence a un intérêt pour la société, et donc pour avoir une descendance qu’elle existe! Sinon on serait tous quasiment autant intelligents, la population aurait une courbe de Gauss de l’intelligence très étroite. Ça me parait logique.

Les gens intelligents seraient donc une excroissance de la population d’intelligence moyenne, qui a pour fonction de résoudre les problèmes de la population d’intelligence moyenne pour qu’elle se reproduise plus.

La compréhension des autres

On comprend les autres car quand les autres sont dans une situation, notre cerveau s’imagine ce que nous vivrions si nous étions à leur place!

Ça veut dire que si on vit une situation de manière très différente de quelqu’un d’autre, on aura du mal à ressentir ce que lui ressent dans cette situation. C’est ainsi que les gens sans problèmes psychologiques ont du mal à comprendre ceux qui ont des problèmes assez intenses.

On a aussi la capacité à se braquer, et à un moment ne plus comprendre les autres si leur mentalité nous parait inquiétante.

On créé des règles de comment les humains réagissent en fonction de comment nous on réagit à un truc, mais on connaît pas forcément toutes les règles.

Donc c’est normal de ne pas comprendre les autres quand dans une situation similaire on réagirait différemment.

J’ai tendance à m’imaginer qu’une différence génétique fait qu’une personne pense radicalement différemment de moi (surtout quand j’ai peur que cette personne) une amie à moi psychiatre pense le contraire, elle a pas forcément tort, pourtant elle est un peu bornée aussi!

Quand on est d’avis différents sur un truc, il y a des choses qui nous ont amené à avoir cet avis différent. Par exemple sur l’interprétation des études entre moi et un lobbyiste, c’est peut être que le lobbyistes n’a pas compris aussi bien que moi les statistiques, en effet j’ai longuement réfléchi à ce sujet.

Ça mérite de discuter sur le sujet entre personne, d’essayer de comprendre pourquoi l’autre personne pense ainsi. Certaines personnes, même si de bonnes volonté, ne sont pas douées pour discuter et essayer de comprendre les autres dans les sujets tendus.

L’effet d’internet sur nous

Le fait d’avoir internet fait qu’on a moins besoin de discuter avec les autres, entre nous pour résoudre les problèmes administratifs et les problèmes de la vie, donc l’évolution devrait dorénavant plus favoriser les gens timides, peu sociaux, sur le long terme.

Ne pas réussir à changer d’idées dans les problèmes psychologiques

Ce que nous pensons déterminer ce qui nous arrive, et donc si nous voulons changer notre vie, nous devons changer notre façon de penser… C’est une phrase qu’on retrouve dans les milieux qui sont curieux de spiritualité. En vrai c’est surtout important d’avoir la vérité des choses en tête. il faut savoir qu’on peut être bloqué sur certaines idées et les changer, mais parfois des troubles psychologiques favorisent certaines idées et on arrive pas à penser à autre chose. C’est aussi pour ça que je pense qu’il existe peut être bien des gens assez bornés et dangereux qui sont lobbyistes, je les ai, je crois, vu sur Wikipédia qui bloquent des pages.

Ne pas pouvoir s’imaginer le monde en entier

On ne peut pas imaginer les conséquences d’un explosion nucléaire, toute les gens qui meurent c’est une idée qu’on ne peut pas attraper dans l’esprit. c’est ce qu’explique Idriss Aberkane dans une vidéo. C’est pour ça que quand on essaie de comprendre les humains, on ne peut pas, on risque de faire des généralités mais ce sont souvent des conneries.

La peur de la sorcellerie pousse durant l’enfance à être cartésien par opposition, ça a été mon cas

Quand on est petit on a tendance à avoir peur des histoires d’horreur, que tout soit incohérent et menaçant tel que les fantômes, les démons, que les règles de la physique ne soient pas respectées et que ça nous fasse du mal. Ainsi on a tendance à pas vouloir croire au surnaturel et on comprend pas les gens qui croient au surnaturel du coup, après, adulte. Je crois que pas mal de médecins fonctionnent ainsi et dès que pour eux une pratique a l’air un peu surnaturelle, ils ne veulent pas la croire et s’opposent à cela. Je dis pas que le surnaturel existe, je dis juste que certains médecins font l’amalgame entre des médecines parallèles et le surnaturel alors que ça ne l’est pas forcément, et que du coup ils nient la possibilité d’efficacité de telles médecines.

C’est peut être pour cela qu’il y a une telle réaction quand on annonce de tel complot, ça donne l’impression que tout est incontrôlable, que tous seraient de mèches, que tout les gens seraient mauvais, du coup les gens préfèrent ne pas y croire.

La parano

C’est juste la capacité à ressentir une menace, il n’y a pas de limite entre être parano et ne pas l’être, tout le monde est un peu sur la défensive quelque part.

Mais généralement être vraiment trop parano est néfaste pour les décisions, sauf peut être un peu dans notre situation actuelle avec la technologie.

L’intérêt quand on est parano c’est de continuer de s’inquiéter pour les grands dangers qui sont réels: par exemple la singularité ou les états en compétition et qui gagnent sont aussi les plus pourris. Mais généralement ça n’a pas d’intérêt.

Il y a un réflexe chez les gens vraiment parano, ils ne veulent pas abandonner leurs idées paranos car comme il en sont sûrs, l’abandonner va faire qu’on va pas la prendre en compte et lutter contre. Je pense que des gens très dans la parano contre les étrangers pensent souvent comme ça et on peur d’oublier la menace.

Le cercle vicieux de la parano est le suivant. La parano amène à plus facilement avoir une idée parano qui va nous convaincre qu’il y a une menace, ce sentiment de menace, va nous faire penser à des idées paranos qui vont nous persuader qu’il y a une menace, etc. Normalement ce phénomène tend à s’arrêter si il n’y a pas de menace, mais quand le cerveau est déréglé ça marche pas.

Je pense que parfois les parano sont paranos envers d’autres groupes car ils s’imagent que dans les autres groupes ils sont paranos aussi mais contre la mauvaise cible. Par exemple les médecins que j’ai rencontré étaient paranos contre les médecines parallèles, et ils s’imaginaient que ces gens qui faisaient de la médecine parallèles étaient parano contre les médecins, ce qui est aussi parfois vrai mais pas si souvent que ça.

Pour les lobbyistes que j’ai vu sur Wikipédia, ça m’a évoqué les hypothèses les plus inquiétantes sur ce qui peut se dérouler derrière ça. Je ne comprenais pas pourquoi c’était ainsi. Si on comprend pas pourquoi c’est ainsi, si les seules explications auxquelles on pense qui nous paraissent plausibles sont inquiétantes. On va continuer de réfléchir en boucle, c’est un peu comme ça que j’ai écrit la partie du livre sur les entreprises et leur possibles mauvais effets.

Les phénomènes avec pleins de paramètres

Pour les phénomènes avec pleins de paramètres en jeu il peut être impossible de déduire la conséquence de nos actes, c’est l’effet papillon, le chaos qui dirige.

Une faible différence sur les idées qu’on se fait au départ ou sur la réalité amène a des grandes conséquences à l’arrivée, et parfois on ne peut pas prédire.

J’essaie dans ce livre de faire des déductions complexes, mais il faut bien avouer qu’il reste un part d’incertitude.

La psychologie en politique

Je crois qu’il y a souvent en politique l’idée de croire qu’on a raison parce qu’on a conscience d’un truc qui fait qu’on comprend le problème et qu’on le résoudra mieux que les autres, du coup que c’est à nous de diriger. Pourtant il faut continuer d’écouter les autres. Ça a été souvent mon cas, de croire que parce que je comprend quelque chose, je mérite de diriger. Bien-sûr il faut bien comprendre qu’on ne comprend pas forcément tout, il faut continuer de consulter pleins de personnes et de faire des médias qui font remonter les bonnes idées, et la bonne compréhension du système vers les décideurs pour que les bonnes décisions soient prises.

Il y avait aussi une étude qui montrait que les politiques sont des gens qui bien souvent luttent pour résoudre les problèmes qu’ils pensent exister. C’est exactement ce que je fais dans ce livre. La question est: « s’attaque t’on aux bons problèmes ? »

Quand j’étais petit et que je parlais dans un discours pour persuader les autres je n’avais pas de retenu, j’étais fort puissant et c’est pour ça que je devais être choisi pour diriger. Hors plus tard, vers l’époque du collège, est arrivé cette retenue: avant d’agir il faut être sûr que ça ne va pas nuire. Il me semble que les gens de droite ont moins de de retenu, sont plus fonceurs et pensent que c’est mal d’avoir de la retenu, c’est peut être un impression que j’ai à cause des médias et de la droite de la période Sarkozy. C’est peut être parce qu’ils ont moins conscience que certaines actions peuvent nuire, donc il n’y a pas de raison de se freiner. Ces traits s’observent aujourd’hui dans les gens d’extrême gauche dans les médias. J’espère qu’ils ne correspondent pas vraiment aux gens qui se pensent plus à gauche ou à l’extrême gauche.

Les groupes dans la société

Pierre Bourdieu un sociologue connu, mort en 2002, disait que les goûts étaient surtout dictés par notre milieu social. Sa voiture, ses vêtements, sa nourriture, on les choisi car on fait parti d’un milieu social, un peu comme si on refuse les choix des autres car on les trouve idiots ou pas comme il faut. Ça montre qu’on s’enferme dans le stéréotype que notre groupe a raison.

Il y avait beaucoup ça à l’époque vers 1990, l’idée qu’on est différent et supérieur aux autres sur certains principes. J’ai l’impression que ce n’est plus trop le cas aujourd’hui à moins que je sois déconnecté de ce genre de ressentis.

Ma psychologie

Durant l’écriture de ce livre j’étais depuis longtemps dans l’esprit suivant: Je m’interdisais de faire la moindre chose immorale, c’est pourquoi je ne tolérais pas les gens qui en font car je ne peux que trouver cela monstrueux. C’est un peu ça qui m’a révolté contre les entreprises qui agissent mal: c’est ceux qui agissent mal qui y gagnent, et ceux qui agissent bien y perdent l’idée est assez insupportable car complètement injuste.

Je me rend compte en étant beaucoup moins parano durant cette période où je fais ce rajout, que tout ça est un peu exagéré, et en même temps assez vrai sur pas mal de points.

Dans le futur il pourrait être intéressant de prendre des individus intéressés par la société et leur administrer des substances avec leur accord qui les rendent temporairement parano en restant gentils. Ainsi ils imagineraient les dangers futurs là ou les autres n’osent pas les voir. Il faudrait faire ça que pendant un temps puis ne plus ne plus leur administrer cette substance, ils reviendraient à la raison et verraient si les idées qu’ils se sont faites ont de l’intérêt. La phencyclidine par exemple crée de tels effets.

Je ne supporte pas les gens qui se comportent mal, c’est pourquoi je me dis que ça va créer une guerre ces problèmes d’espionnage et de guerre économique. Si les dirigeants ne supportent pas, comme moi, les injustices faites lors de la guerre économique, je me dis que ça va pousser les pays à se faire la guerre. En réalité ces tensions entre grands blocs sont peut être plus vécus comme des coups tordus normaux, acceptables et ne créeront pas de guerre. Pour avoir vu les vidéos et lu les livres d’anciens agents secrets, je vois qu’ils en ont rien à faire des mauvais coups, c’est par pour autant qu’ils sont sans morale, mais c’est comme quand on mange de la viande, on oublie qu’on doit tuer des animaux pour en manger. Mais il y a des conséquences à ces coups tordus: ce sont les pays qui se comportent le plus mal qui tireront leur épingle du jeu. Aussi quand un pays s’enrichir énormément grâce à son économie, en majorité, elle le fait au détriment de la richesse des autres pays. C’est ce que j’explique dans l’idée que seules les entreprises qui sont un peu des monopoles gagnent de l’argent, c’est parce que elles peuvent vendre un peu plus cher leur produit dans le monde, faisant ainsi la misère de ceux qui sont contraints d’acheter plus cher. Donc effectivement, globalement il faut bien empêcher et trouver des solutions contre la guerre économique mondiale.

L’évolution de rumeurs

L’évolution progressive des rumeurs et des idées qui circulent dans la population peuvent être un moyen d’obtenir la vérité, l’homme aurait évolué ainsi, pour que les rumeurs, les conflits, au final fassent gagner la bonne solution!

Pourquoi le tirage au sort dans bien des cas est la solution

Ce qui explique que dans bien des cas je souhaites utiliser le tirage au sort pour choisir des gens qui ont de l’importance pour la démocratie, c’est ces choses: D’abord m’assurer que c’est représentatif de la population. En suite c’est que, contrairement à d’autre système pour choisir les gens, on s’assure ainsi que la plus part des gens sont honnêtes. Il y a ainsi pas de phénomène de filtre qui ont pu sélectionner des malhonnêtes ou des trop extrêmes. Peut être qu’il y aura des gens assez bêtes si on tire au sort, le QI média de la population étant 100, mais il faut savoir que les gens qui ne comprennent pas quelques choses, généralement font confiance à ceux qui semblent avoir compris. On le voit dans la vidéo YouTube de fouloscopie « la MAJORITÉ a-t-elle toujours RAISON ? », si ce qu’elle dit est vraie: les gens qui sont pas sûrs écoutent ceux qui ont l’air sûr. Et puis les gens plus bêtes ont aussi le droit de s’exprimer et surtout d’exprimer les problèmes qu’ils vivent pour qu’on les résolve. Évidement ils peuvent avoir raison dans bien des cas aussi.

Il est difficile de faire des raisonnements sur les ethnies et leur psychologie

Les raisonnements que j’ai fait sur la psychologie des gens basés sur l’idée de l’évolution sont peut être vrais, peut être faux.

Mais je veux dire ici qu’il est à la fois difficile et dangereux de faire de tels raisonnements sur les différentes ethnies que portent le monde.

C’est difficile et hasardeux, car pour connaître quel comportement a pu être favorisé au cours de l’évolution il faut connaître les différences entre les civilisations. En réalité il est très difficile de savoir ce qui s’est déroulé dans tout les villages d’Europe, d’Afrique ou d’Asie durant l’histoire et la préhistoire et en plus il faudrait savoir cela depuis au moins 10 000 ans, car l’évolution est longue à se faire dans bien des cas. Donc ce serait vraiment hasardeux de faire de telles déductions entre les ethnies.

Je pense qu’il peut exister des différences psychologiques légères entre les ethnies. Le soucis c’est que même si on arrive à les mesurer de manière scientifiques, il me parait quasiment impossible de savoir scientifiquement si ces différences sont dues à la culture, à la situation ou à la génétique.

Hors, si on pense que certaines différences sont dues à la génétiques, ça persuadera certaines personnes de vouloir soigner des gens qui sont similaires. Ce serait idiot et contre-productif pour résoudre les problèmes du monde.

Et puis moi qui fait des amalgames, il m’est souvent arrivé de me dire que telle ethnie ou telle autre est plus comme ci ou comme ça. Dans 90% des cas j’ai fini par me rendre compte que mes idées étaient fausses. Je crois que c’est vraiment contre productif de chercher à se faire ce genre d’idées.

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