La médecine et les labos pharmaceutiques

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Introdcution

Je vais dans ce chapitre beaucoup critiquer les laboratoires pharmaceutiques et un peu l’organisation du monde médical. J’ai été étudiant en médecine et je connais pas mal la situation. Je suis très méfiant face aux labos pharmaceutiques, mais je sais que nombreux médicaments fonctionnent et sont dans une bonne partie des maladies indispensables. Je ne dis pas le contraire, je dis ça car ceux qui critiquent les complotistes croient parfois que tous les gens qui critiquent les labo pharmaceutiques sont des extrémistes. Ce que je critique sur les labo pharmaceutiques, c’est deux choses:

• Je pense qu’une partie des labos et/ou les services secrets de certaines pays bloquent la recherche sur des idées de mécanismes de maladie tout à fait intéressants, des idées qui pourraient peut être permettre de soigner pas mal de pathologies lourdes. Je pense que leur stratégie passe par la diffusion de rumeurs détruisant les chercheurs à la pointe dans ces domaines et du coup l’intimidation d’autres chercheurs pouvant aller dans cette voie, et par d’autres actions immorales. On peut citer les recherches de Luc Montagnier, Didier Raoult, le professeur Fourtillan. Quand on connaît la situation on sait que les anecdotes circulantes mentent bien souvent qu’elles soient dans les médias ou le milieu médical. Ça peut aussi passer par de fausses études écrites par des portes plumes (des gens qui publient ce que les labos pharmaceutiques demandent de publier) qui discréditent un traitement, j’ai entendu dire que ça existait.

• La deuxième chose que je critique, c’est qu’une partie des labos essaient de vendre leurs produits le plus possible en trompant les médecins, en faisant croire par exemple que le nouvel antidépresseur est mieux que les anciens sur tout les patients ayant une dépression, alors qu’en réalité, il est mieux, mais que pour une petite partie des patients en dépression. Et ça je pense que tout les labos pharmaceutiques ou presque le font car ça leur permet de gagner plus d’argent et de mieux survivre, au fil des décennies auraient survécu surtout les labos pharmaceutiques qui faisaient ainsi (puisque ceux qui ne font pas ainsi gagnent nettement moins d’argent). Comme les financements des labos pharmaceutiques représentent 90% des études cliniques (études qui servent à démontrer l’efficacité ou le danger d’un traitement), forcément la mise en évidence d’un défaut d’un médicament met beaucoup plus de temps que la mise en évidence d’une qualité d’un médicament. Donc globalement, les médecins ont un avis biaisé en faveur du médicaments qui coûte cher (malgré que souvent ceux ci ont conscience du problème et se méfient). C’est comme ça qu’il a fallu environ 55 ans pour mettre en évidence que les antipsychotiques doivent être pris de préférence avec modération et associés à une psychothérapie plutôt que seuls et en grande quantité pour un meilleur pronostic, et ça, ça concerne des dizaines de millions de patients depuis des décennies. Les antipsychotiques sont indispensables dans nombreux problèmes psychiques, mais ils sont aussi très mauvais pour la santé, c’est vraiment grave qu’on ne sache cela que si tard. Je suis à peu près sûr que si c’était mieux de prendre beaucoup d’antipsychotiques pour un meilleur pronostic, ça aurait été mis en évidence en 3 ans seulement après la vente du premier antipsychotique.

Les entreprises qui financent les études qui ne rapportent pas d’argent (en expliquant que son médicament est néfaste dans certains cas), ces entreprises n’existent pas (ou il n’y en a plus beaucoup) car vu le prix d’une étude randomisée ces entreprises ont toutes fait faillite depuis bien longtemps! C’est pas la théorie du complot, c’est juste le bon sens!

En essayant de répondre à savoir si c’est vrai ou faux, on a tendance à être pris par ses émotions et vouloir croire que c’est vrai ou faux, alors qu’en fait on ne sait pas. C’est pourquoi il faut enquêter. Ce que je fais dans ce livre est d’apporter une liste d’observation et de raisonnements qui font penser que ça a de bonnes chances d’être vrai.

J’ai déjà rédigé un long chapitre sur « Le phénomène de l’évolution, de la sélection » au début de ce livre dans le grand chapitre nommé : « Le phénomène de l’évolution, de la sélection » qui explique pourquoi des entreprises se mettraient à agir ainsi, je vous invite à lire ce chapitre si vous ne l’avez encore lu. Il y a aussi le chapitre « Comment cela se met en place dans les labos pharmaceutiques » dans le même grand chapitre qui détaille les mécanisme qui ont pu favoriser cela dans les labos pharmaceutiques. Il y a également le chapitre « Voici ce que j’ai vu qui me fait penser qu’il y a un problème » toujours dans le grand chapitre « Le phénomène de l’évolution, de la sélection » qui explique les faits marquants qui font penser que c’est réel.

Une chose très importante à comprendre dans ce chapitre avant de l’aborder est que les vieux médicaments (créé il y a plus de 20 ans) sont hors brevet et ne rapportent presque rien à leur vendeur, du coup personne n’a intérêt à faire d’étude qui prouverait leur efficacité dans telle ou telle situation. Ce n’est pas les 10% de financement des essais cliniques par de l’argent publique qui suffisent.

Aussi d’après une connaissance qui est psychiatre, les antipsychotiques de première génération, ceux hors brevet actuellement et qui font moins grossir, seraient souvent mieux pour la schizophrénie légère. Vu qu’il n’y a pas de budget pour prouver cela et divulguer l’information parmi les médecins, les médecins ne prescrivent pas ainsi, c’est aussi des millions de personnes qui sont concernés.

Une autre chose à comprendre, c’est un grand principe de la science médicale: Quand on veut savoir si un nouveau médicament, une ancienne molécule ou un autre type de traitement est efficace et non nocif sur telle ou telle maladie, la seule manière de le savoir c’est d’essayer ce traitements sur des patients. C’est la seule manière. La biologie fonctionne sur les réactions chimiques qui se déroulent dans les cellules. Sans rentrer dans les détails, une majorité de ces réactions chimiques, on ne sait pas les prévoir! Pour simuler ces réactions chimiques par ordinateur il faudrait quelque chose de l’ordre de centaines de milliard d’ordinateurs mobilisés pendant des milliards d’années! Donc pour pleins de réactions chimiques qui se passent dans notre corps, on ne sait pas les prévoir, c’est pourquoi on ne peut pas prévoir l’efficacité d’un médicament avant de l’avoir essayé sur des patients. C’est aussi pourquoi, lors du Covid, certains disaient qu’on ne peut savoir les effets à long termes du vaccin: ils avaient raison, on ne peut les prévoir. Cependant il faut avouer que le vaccin a été essayé pendant quelques mois et qu’en général, en médecine, sur un médicament, tout les effets secondaires arrivent au début du traitement. Il y a eu aussi des effets secondaires graves assez nombreux, mais en balance le vaccin a peut être limité le nombre de Covid grave et un peu de décès. On peut aussi imaginer des effets graves sur le longtemps terme comme l’augmentation des cancers sur le lieu d’injection, car apparemment la protéine Spike diminue les mécanismes liés à la réparation de l’ADN dans les cellules d’après l’article « SARS–CoV–2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro » sur Pubmed, je n’ai pas eu le temps de vérifier parfaitement cet article, mais si j’ai bien compris il explique que la Spike du Covid (celle synthétisée grâce au vaccin et présent sur le virus) diminue les mécanisme de réparation de l’ADN, donc par déduction pourrait légèrement favoriser les cancer, c’est un article très important qui mérite d’être étudié. Je trouve toujours ça très hasardeux d’avoir essayé un tel traitement relativement peu testé (l’ARN d’un virus) sur des milliards de personnes en même temps.

Du coup les médecins doivent faire confiance à ces études faites par les labos pharmaceutiques lors de la sortie d’un médicament pour savoir si un médicament est efficace ou non. Ces études sont surveillées par l’Union Européenne, mais je montrerai qu’on peut quand même les biaiser en restant dans la loi pour donner une impression fausse en faveur du médicament. Et surtout les molécules qui ne rapportent pas, il y a difficilement des études sur elles.

Une autre chose très importante à comprendre est que malgré les études sur les patients, il est impossible de savoir la probabilité qu’un médicament est efficace ou non. Tout ce qu’on peut connaître c’est la probabilité que le médicament, si il n’est pas efficace, présente un résultat d’efficacité autant important que l’étude l’a montré. C’est assez compliqué et j’ai mis du temps à le comprendre. Souvent les médecins ne comprennent pas ça, seuls certains d’entre eux ou les statisticiens comprennent ça.

Pour les professionnels, sachez ceci: il s’agit du risque Alpha et du risque Bêta lié au petit p dans les études, le risque Bêta ne peut être déterminé mais uniquement estimé. Il faudrait connaître une courbe de densité de probabilité en fonction de l’efficacité avant l’étude pour savoir la probabilité que le médicament est efficace, hors elle est impossible à déterminer.

Ce paragraphe est destiné au médecins pour bien comprendre cette idée. Les études avec des statistiques sont subjectives. Le petit p est bien réel dans une étude randomisée, mais si je vous dis qu’on compare deux molécules A et B dans un étude randomisé, et que le petit p est de 0.02 en faveur de l’hypothèse que la molécule B est plus efficace que la A, alors vous seriez tenté de penser que cette molécule B est efficace. Mais si je vous dis maintenant que ces molécules étaient des placebos toutes les deux! Qu’est ce que vous allez penser? que c’est une erreur statistique. C’est pareil avec les arguments qu’on apporte en dehors de ce petit p en faveur ou défaveur de l’efficacité de cette molécule, ils peuvent influencer votre impression, car le petit p n’est pas la probabilité que les traitement B est plus efficace que le A. Et pour avoir été dans le milieu médical, je trouve que les labos sont très forts pour amener des arguments en faveur de l’efficacité de la molécule, cachant certainement tout les arguments en défaveur quand c’est raisonnable de les cacher. C’est ce paragraphe qu’il faut donner en apprentissage aux étudiants en médecine pour qu’ils comprennent bien le problème.

Pour faire simple retenez ceci: on ne peut pas déterminer la probabilité qu’un médicament est efficace, on peut seulement à force de faire des études dessus en diminuer ou augmenter son estimation. Du coup il est tout à fait possible avec des arguments de faire pencher la balance en faveur que tel traitement est efficace, et inversement, on peut faire pencher la balance en faveur qu’il est inefficace ou dangereux si on donne des arguments pour. Hors les visiteurs médicaux sont très nombreux et peuvent trouver tout les arguments qui les arrangent. C’est pourquoi il faut remplacer les visiteurs médicaux par des personnes neutres.

Bien sûr les médicaments utilisés depuis très longtemps, ou dont les études ont un petit p très très faible, ont très très certainement une efficacité, malgré qu’on ne puisse pas déterminer la probabilité d’efficacité.

Il y a forcément une part de ressenti dans pas mal d’études. C’est pour ça qu’il ne faut pas des lobbyistes qui choisissent.

Dans un procès si une des parties a dix avocats payés chers et l’autre un avocat payé au rabais, celui avec 10 avocats payés chers est quasi sûr de gagner si il y a ambiguïté (qu’il ait tort ou raison). C’est pareil en médecine pour la défense des idées.

Parfois des observations sans étude sont plus fiables que les études. Par exemple si tout nos collègues témoignent exactement du même symptôme rare chez les patients suite à un même traitement, c’est un élément fort pour penser que ça provoque ce symptôme rare. Et ce genre d’observation pourtant très juste est mal reconnu.

Ce n’est pas parce qu’on sait appliquer les statistique qu’on les comprend. Il y a ces subtilités que je viens de préciser que tout les médecins n’ont pas conscience. On ne leur apprend pas cela durant les études, du moins, moi, je ne les ai pas apprises.

Une petite question : qu’est ce qui provoque que les labos pharmaceutiques ont des chances d’agir ainsi ?>
Les labos pharmaceutiques sont des entreprises qui dépensent surtout leur argent dans la recherche. Si le labo pharmaceutique ne persuade pas les médecins de prescrire le nouveau médicament, et que le médicament se vend peut, il y aura un gros déficit pour le labo pharmaceutique. C’est pourquoi les labos pharmaceutiques qui n’ont pas trouvé tout les moyens de persuader les médecins de prescrire leur médicament ont peut être bien tous fait faillite. Logiquement, ont survécu surtout les labos pharmaceutiques qui maximisaient leurs ventes ainsi. Ceci et les autres explication sur comment ça peut se mettre en place est expliqué dans le chapitre :« Comment cela se met en place dans les labos pharmaceutiques » dans le même grand chapitre « Le phénomène de l’évolution, de la sélection »

Il se peut que la psychologie de certains médecins favorise cela

Comme dit plus haut, j’ai déjà rédigé ces trois chapitres du livre que vous pouvez consultez (Ces extraits sont dans le grand chapitre « Le phénomène de l’évolution, de la sélection ») : « Le phénomène de l’évolution, de la sélection », « Comment cela se met en place dans les labos pharmaceutiques » qui vous expliquent pourquoi ça n’est pas improbable qu’il y ait de tel coups montés. Le chapitre « Voici ce que j’ai vu qui me fait penser qu’il y a un problème » explique les faits marquants qui font penser que c’est réel.

Je pense que la plus part des médecins sont de bonne volonté, mais je pense aussi qu’il y a certains critères qui peuvent pousser à aller en médecine. Deux d’entre eux sont la mégalo, l’envie de reconnaissance et une autre est l’envie d’argent. Hors je crois bien que chez les gens un peu mégalo et ayant envie d’argent on retrouve certains types de pathologie dont la schizophrénie… ou les gens sont plutôt gentils et très handicapés, mais aussi les trouble de la personnalité paranoïaque, nettement plus fréquent que la schizophrénie où les gens sont souvent mal veillant.

J’ai eu l’impression que ces gens là étaient plus présents chez les médecins que dans la population générale. Je me demande si ça permet aux lobbyistes pharmaceutiques de plus facilement employer des gens sans morale parmi les médecins, qui eux répandront les rumeurs. C’est aussi parfois ces gens là qui gagnent le pouvoir dans les hôpitaux. C’est possible que le besoin de performance économique demandé aux chefs de services qui nécessite de ne pas s’inquiéter du bien être des patients filtre ces chefs là, car ceux de bonne volonté abandonnent. Je ne suis pas sûr non plus de cela, il faudrait enquêter pour savoir.

Il y a aussi le fait que parmi les gens ayant un QI supérieur à 130, une grande partie a des capacités sociales limitées, tandis que l’autre partie a en général de bonnes capacités sociales (des études montraient cela, et mettaient même en évidence la corrélation avec une structure du cerveau affaibli en taille au scanner). Je crois aussi qu’on retrouve ces gens ayant de faibles capacités sociales parmi les médecins car nombreux ont plus de 130 de QI (ayant passé l’examen de première année de médecine très difficile). Et il me semble que ces gens se font avoir par les rumeurs qui circulent! En effet pour comprendre que les rumeurs qui circulent ne tiennent pas la route, il faut de bonnes capacités à se mettre à la place des autres, et ça, ils ne l’ont pas. Certains n’arrivent pas à discuter de ces problèmes et se braquent immédiatement en pensant qu’on est forcément gravement complotiste et qu’on nie l’efficacité de tout médicament. Il faut avouer qu’ils se retrouvent parfois face à des patients ayant vraiment un délire et disant des choses insensées sur le sujet, ce qui peut aussi expliquer qu’ils se braquent ainsi.

Quelques autres éléments éparses qui font penser qu’il y a un problème

Le compte en Suisse de Jérôme Cahuzac était en fait en partie de l’argent de labo pharmaceutique versé vers 1995. Cet argent qu’il avait était là pour financer les campagnes électorales de son partie. Ça se faisait beaucoup à l’époque, Mitterrand a mis fin à ça. Le soucis c’est que c’est l’argent de labo pharmaceutique, certains de ces labos se comportaient déjà mal.

Pour les labos pharmaceutiques, empiéter sur le domaine d’un autre labo en prouvant qu’une molécule pas chère est bénéfique sur une maladie qu’un autre labo soigne est une chose à éviter car le labo ennemi peut se venger en faisant pareil. C’est le même principe que l’évolution des animaux, ceux qui se vengent pour protéger leur lieu de chasse, ou les humains qui se vengent pour protéger leur lieu de culture sont ceux qui vont survivre le plus et avoir le plus de descendance, ils seront donc nombreux à agir ainsi. Les labos qui font ainsi survivent plus aux crises. Plus embêtant encore: les labos pourraient éviter de faire un médicament miracle alors qu’il peut le faire pour garder le médicament miracle dans 20 ans à la fin de la période de brevet du premier médicament moins efficace. Je pense que dans les écoles de PDG, on apprend ce genre de notions : protéger ses bénéfices sur le long terme.

Le docteur Raoult a mené une étude où il montre que les études avec des conflits d’intérêt ont en moyenne un résultat meilleur (je crois de 20% meilleur en moyenne) que celles sans conflit d’intérêt. C’est aussi un élément fort pour dire qu’il y a un problème.

Pfizer, si j’ai bien compris ce que j’ai lu, sur plusieurs sites, qui sont pour certains des sites d’infos connus, a écopé d’un peu plus de 10 milliards de dollars d’amende entre 2010 et 2020 aux États-Unis, et ça découpé en plusieurs amendes, chaque fois pour des choses assez grave. Comment les dirigeants de Pfizer peuvent, si ils se comportent bien, ne pas réussirent à prendre des décisions pour éviter que cela arrive à nouveau? Chaque fois qu’ils avaient un amende pour une action grave, ils recommençaient leurs méfaits et avaient une autre énorme amende quelques mois ou années après, et ça pendant dix ans. Peut-être qu’ils n’arrivaient pas à bloquer ces mauvaises actions, si on veux être très indulgent envers eux. Mais peut être aussi qu’ils savaient très bien qu’ils faisaient des choses illégales, mais que globalement l’amende, même énorme les pénalisait moins que faire ces choses illégales, donc ils ont continué, si c’est le cas, c’est pour moi des gens sans morale. Si ils sont capables de faire de telles choses illégales sans se poser de questions, je ne vois pas pourquoi ils ne seraient pas capable d’optimiser les études qu’ils font, alors que ça c’est juste immorale mais pas illégal, n’est ce pas? Aussi, si ils sont vraiment mauvais et porté par ce projet de faire gagner leur labo pharmaceutique. Si ça est vrai, ils peuvent très bien faire des coups montés pour discréditer toutes les recherches qui auraient un grand intérêt médical et qui pourraient entrer en concurrence avec leurs produits, comme semble le dire Luc Montagnier, Fourtillan, Raoult et Perronne.

Aussi, c’est pas très surprenant que des services secrets de pays étrangers agissent ainsi pour défendre les intérêts économiques des entreprises de leur pays. En effet le témoignage de nombreux anciens de la DGSE vont dans le sens qu’il y avait vraiment un vaste espionnage en France Afrique avec la main mise sur pas mal de dirigeant africains. On peut le voir dans les vidéos d’Alain Juillet sur YouTube (c’est un ancien directeur de la DGSE) ou dans la vidéo "ANCIEN ESPION DE LA DGSE, IL RACONTE LES DESSOUS DE LA FRANCEAFRIQUE", mais il y en a bien d’autres. On était nombreux à se demander si c’était un fantasme, c’était bien vrai. Aujourd’hui je crois qu’il en est de même pour une certaine main mise des États-unis sur les médias français et peut être européens.

Témoignage d’une personne ayant travaillé dans l’industrie pharmaceutique

Une personne ayant travaillé dans les labos pharmaceutiques dans la partie qui s’occupe de l’évaluation des médicaments, m’a dit deux choses: il existe des portes plumes (du moins c’est ce qui se disait dans son travail), ce sont des scientifiques qui sont payés pour publier ce qu’on désire. Et ceux qui évaluent l’efficacité des médicaments, bien que ce soit encadré par l’union européenne, font en sorte de favoriser au maximum l’impression que le médicament est bénéfique pour les patients très souvent de manière exagérée. Donc mes suppositions, j’ai appris qu’elles étaient bien réelles.

Les chefs dans les labos pharmaceutiques qui s’occupent de faire la promotion des médicaments, certains auraient commencé à dévier, à faire des choses immorales pour vendre plus. Seuls eux, les plus rentables sont restés en place. Puis ils ont pu faire des coups montés pires.

Les coups montés

Il y a des recherches qui semblent révolutionnaires qui ne rapportent rien et qui tueraient tout un pan de l’économie des labos pharmaceutiques, comme celles de Luc Montagnier ou du professeur Fourtillan dont on peut voir ses explications sur YouTube en tapant « fonds Josefa » ou sur la vidéo « on a retrouvé la mémoire de l’eau ». Ces recherches, je le crois, peuvent être bloquées, il suffit que de nombreux portes plumes publient des articles qui contredisent les publication des ces gens. On pourrait se demander, mais comment peut on savoir que ce sont des portes plumes, peut être que ceux là sont des vrais scientifiques et que Fourtillan et Montagnier ont tort, et je répond plusieurs choses à cela:

• Ils ont été attaqués de manière injustifiée dans les médias, entre autre, les recherches de Fourtillan, on les a fait passer pour farfelue, car celui ci a cité une seule fois ou deux la religion dans son discours de 1h expliquant ses recherches sur l’hormone de l’éveil. Il y a eu énormément d’autres attaques comme cela qui étaient injustifiées. Les services secrets d’un pays peuvent défendre leurs intérêts en corrompant des journalistes! Donc il y aurait un intérêt à les discréditer. Aussi j’ai vu ça sur Wikipédia, sur la page de Luc Montagnier.

• Fourtillan, Raoult, Montagnier n’ont pas d’intérêt à mentir il me semble.

• Et effectivement on pourrait quand même avoir un doute, c’est pourquoi il faut enquêter! Il faut aller voir les anciens employés de labo pharmaceutiques pour savoir si ils trichent, à quel point. Il faut tendre des pièges aux chercheurs qui sont des portes plumes pour les faire témoigner et les condamner. Il faut aller voir avec la DGSI les lobbyistes sur Wikipédia pour savoir ce qu’il y a derrière, etc. Et surtout il faut défaire le réseau, il faut que la tête pensante du système soit immobilisée: je pense qu’il s’agit des PDG de ces labos, et de la tête des services secrets ennemis (pour les services secrets étrangers il faut les convaincre d’arrêter de faire ça, ou faire un parlement mondial qui empêche cela).

Il faut s’autoriser à enquêter dans les entreprises et les labo pharmaceutiques à l’échelle mondiale. Pourquoi? par ce que si on le fait à l’échelle de chaque pays seulement, les pays seront tentés de limiter les actions contre les laboratoire pharmaceutique qui abusent sur leur territoire pour éviter de faire faillite à une entreprises qui rapporte au pays. Ainsi on ne réussira pas à arrêter le phénomène.

Il y a aussi le fait qu’il est possible que des gens qui publient des idées révolutionnaires ne soient pas publiés facilement. En effet les reviewers (ce sont les personnes qui sont tirés au sort parmi les médecins et qui se charge de vérifier si les études proposées aux journaux médicaux doivent être publiées) de qualité qui pourraient l’accepter refusent d’évaluer la publication sachant car ils connaissent mal le sujet pour les idées révolutionnaires, seuls les reviewers qui croient tout savoir et qui s’opposent généralement aux idées nouvelles vont accepter, relire le document et le refuser.

Il y a aussi la possibilité que des lobbyistes aient pris le contrôle des serveur web d’Elsevier pour empêcher les publications révolutionnaires d’être publiées. Pour savoir si c’est le cas, il faudrait consulter les chercheurs qui n’arrivent pas à être publiés, et si le choix et le commentaire du reviewer sur le serveur d’Elservier reçu par celui qui tente de publier l’article correspond vraiment au commentaire du vrai reviewer qu’on contacterait par téléphone.

Luc Montagnier a aussi témoigné qu’il y a eu des manipulations: on a fait pression sur la personne qui a publié qu’il y a une séquence du VIH dans l’ARN du Covid 19 pour qu’elle annule sa publications. Je pense que cette séquence était là, pas parce que des chercheurs l’y auraient mis, mais parce que la nature l’a mise, ces brins d’ARN du VIH donnant un avantage sélectif car ils diminueraient le système immunitaire en désactivant les lymphocyte T CD4 au alentours des particules virales. Avant que le virus passe à l’homme il aurait acquis petit à petit ces séquences qui comme celles du VIH se fixent sur les récepteurs CD20 des lymphocytes T CD4. Luc Montagnier se demandait si les services secrets chinois n’étaient pas derrière cela car ils avaient peur que ça soit utilisé comme preuve que le Covid était artificiel.

Les labos pharmaceutiques ont une armée de visiteurs médicaux pour faire connaître leurs produits et les chercheurs si ils ont une solution à une pathologie, ils ont personne pour faire connaître ça. C’est pourquoi il ne faut surtout pas de la loi anti-complotiste de Darmanin qui empêche encore plus les nouvelles découvertes de se faire connaître. Cette loi dit qu’on a pas le droit de dire qu’un autre traitement est plus efficace que le traitement reconnu par le corps médical.

Dans les labos, sûrement, les visiteurs médicaux faisant un mauvais chiffre sont virés, les bons conservés, c’est comme ça qu’on à la fois des mecs qui déforment la réalité et qui ne paraissent par être des voyous dans les visiteurs médicaux (si les visiteurs médicaux paraissaient voyous, on se méfierait d’eux).

Les rumeurs

Il y a un phénomène en psychologie, du moins je l’observais chez moi: Quand on a le choix de croire en une chose et son opposé, et que ces choses sont toutes deux inquiétantes, alors on fini par se fixer sur un camp. Par exemple, en politique, on a tendance à être soit à droite, soit à gaucher. En effet si la droite dit vrai, la gauche ment, et si la gauche dit vrai, la droite ment. On préfère choisir qu’au moins un des deux partis soit honnête dans notre ressenti. Aussi les gens intelligents sont tout aussi sujet aux biais scientifiques que les gens moins intelligents. En plus les gens intelligents ont tendance, même quand on leur explique que la vérité est différente, à construire un modèle mental pour défendre leur point de vue simplement car ils sont persuadé qu’ils ont raison et qu’ils ne faut pas donner raison à ceux qui ont tort pour le bien de tous. Puis, avec argumentation les gens finissent par comprendre, le soucis est que les rumeurs persuadent vraiment ces médecins du bien fondé de leur point de vue.

Souvent les rumeurs dans le milieu médical concernent les médecines parallèles et les font passer pour dangereuse et idiotes. Je ne dit pas que ça peut être un peu le cas, mais ces rumeurs font passer systématiquement ces gens pour dangereux et anti bon sens. Par exemple que ces soignant poussent les gens à arrêter leur chimiothérapie, etc., et les font passer pour bornés. C’est pourquoi une partie des médecins quand ils entendent parler de choses qui semblent être des médecines parallèles vont se braquer. Le soucis est qu’une partie de ces choses sont des découvertes récentes et tout à fait scientifiques pas encore acceptées par la communauté scientifique.

Et je l’ai vu à plusieurs reprises avec d’autres médecins, ces rumeurs arrivent à persuader vraiment fortement pas mal de médecin, ils sont vraiment acharné dans leurs idées si bien que les persuader du contraire est vraiment compliqué. Et ces rumeurs font passer toutes personnes qui critiques les labos pharmaceutiques pour un idiot complotiste, si bien que quand on discute avec certains médecins de cela, la conversation est impossible.

Par exemple pour avoir recherché dans les publications médicales, sur le régime carnivore, il favoriserait légèrement les cancers et les maladies cardiovasculaires. Même l’OMS a déclaré la viande comme probable cancérigène. Le régime végan créerait réellement des carences sur le long terme, tandis que je crois bien que le régime végétarien non. Et bien dans le milieu médical, face à certains médecins, si vous dites que le régime carnivore favorise légèrement les cancers et les maladies cardiovasculaire, vous passez pour un complotistes car ça a l’air d’être un peu de la médecine alternative, pour certains vous aurez un mal fou à les persuader.

C’est pour ça qu’il me semble que les théories qui circulent sur certains faits scientifiques si ça a l’air d’être lié aux médecines parallèles ne percent pas dans le milieu tandis que les rumeurs les dénigrant si. D’autres médecins m’ont confirmé qu’ils partageaient la même vision que moi sur ces rumeurs.

Si la rumeur qui circulent parmi les médecins est fausse, ça voudrait dire (dans l’esprit des médecins qui croient à ces rumeurs) que des très nombreux méchants médecins font circuler ces rumeurs (car étant dans un milieu sérieux ils savent ce qu’ils disent) et ça c’est impensable, du coup, ils préfèrent croire que les médecines alternatives sont vraiment faites par des fous dangereux! Là réalité est différente, je pense, c’est que très peu de gens lancent ces rumeurs et aucun médecin ne vérifie ces rumeurs et c’est pour ça qu’on arrive à cette situation.

Parfois, quand on est intelligent on comprend que certaines rumeurs ne tiennent pas la route (comme l’idée de la terre plate), donc on les propage pas. Mais si on est dans un milieu qu’avec des gens assez intelligents comme en médecine, les rumeurs qui se propagent sont celles dont, avec une certaine intelligence, on ne peut facilement discerner si elles sont vraies ou fausses, mais ça n’empêche pas les rumeurs de circuler.Il n’y a pas d’institut qui vérifie que les anecdotes qui circulent sont justes, donc elles peuvent tout à fait être fausses.

C’est pourquoi quand ils entendent parler que Fourtillan a des explications forte sur la schizophrénie, la démence d’Alzheimer et de Parkinson, ils ne veulent pas y croire. Il s’imaginent que ça voudrait dire que l’industrie pharmaceutiques est suffisamment corrompue pour ne pas utiliser car ça menacerait leur bénéfices (en effet dans ce cas il s’agit de solution non brevetable, du coup, pas de bénéfices pour les labos), et ça, ça leur parait impossible. Quand une bonne partie des médecins voient une telle publication, ils cherchent tout les arguments pour dire que la publication ne tient pas debout, car ça leur parait impensable que la publication soit vraie. En vrai je ne connais pas ce qui se passe dans la tête de tout les médecins, mais je l’ai vu chez certains médecins, avec qui je discutais de telle chose et qui trouvaient systématiquement tout les moindre argument contre l’hypothèse qui n’est pas la plus répandue. Et donc je pense qu’il y a des chances que bien d’autres médecins pensent ainsi.

À partir du moment où j’ai senti qu’une bonne partie de ces rumeurs étaient fausses (car systématiquement elles faisaient passer les médecines parallèles comme folles, sans nuance) je me suis demandé si des personnes mal intentionnées comme certains visiteurs médicaux, ne pouvaient pas les avoir lancé dans un but de focaliser les médecins sur la médecine normale. À vrai dire, je remarque aussi qu’il se crée souvent des mentalités dans des milieux qui concernent le milieu extérieur comme par exemple les Allemands sur les Français et vice versa avant la seconde guerre mondiale. Donc il est difficile de trancher, il faudrait voir qui propage ces rumeurs en enquêtant.

Pour m’être battu sur internet avec certaines personnes que je pense être lobbyistes, ces gens sont de mauvaise foie, et leur haine de leur ennemi les poussent à faire les coups tordus les plus sournois. Ça ne les dérangeraient pas car ils ont un problème psychologique qui les limite de comprendre que quand ils font ça, ils sont en tort et font souffrir les gens. Donc c’est aussi possible que ces rumeurs soient lancées volontairement.

Il doit y avoir une science de la désinformation et comment une rumeur circule, cette science est peut être utilisée dans le milieu médical par des lobbyistes.

Un des soucis est qu’il y a des sujets très pointus, et certains médecins qui passent à la télé qui détruisent la réputation d’autres, comme Raoult ou Luc Montagnier, les détruisent sur des rumeurs fausses qui circulent, ou sur des idées de la médecine, des dogmes qui sont faux. Malheureusement ceux qui passent à la télé devraient se taire quand ils ne sont pas sûrs, ils ne le font pas. C’est ce que j’ai vu dans des extraits télé sur YouTube à nombreuses reprises. Et ça, c’est à cause de la télé qui cherche à faire de l’audience.

Certains se basent sur l’avis le plus rependu pour se faire son propre avis, d’autre se base sur le raisonnement et essaie de comprendre les choses.

Je pense qu’il existe réellement certains naturopathes ou patients qui sont anti médecine normale et ça c’est un comportement idiot. Mais dans la naturopathie, dans certaines médecines parallèles et chez certains domaines de la médecine décriés comme les médecins traitant Lyme, il y a aussi des choses qui peuvent vraiment aider les gens. En particulier les médecins de Lyme sauvent parfois des patients ayant des troubles bizarres ou des troubles psychiatriques inhabituels. J’ai ainsi grandement aidé un ami qui avait des soucis de santé pas possible quand je l’ai dirigé vers un médecin de Lyme. Quand un patient a des symptômes insupportables depuis des années, dont les médecins n’arrivent pas à soigner bien, je ne vois pas trop le problème à aller consulter un naturopathe ou un médecin de Lyme, parfois ça peut vraiment aider. Par contre, dans les cas où on a affaire à des symptômes aigus (étant apparu il y a peu de temps), là il y a effectivement danger à voir un naturopathe, il faut d’abord se diriger vers un médecins qui pourra prendre en compte si jamais il y avait derrière une pathologie potentiellement grave. Mais ça, je crois que la plus part des patients l’ont bien compris.

En parlant avec de nombreuses personnes qui n’apprécient pas le vaccin contre le covid, je n’ai jamais rencontré de personne réellement Antivax contre tout les vaccins. Il en est de même pour les médecins soit disant Antivax, en écoutant leur discours ils ne sont pas du tout Antivax, ils sont par exemple contre certaines utilisations de certains vaccins mais jamais contre tout les vaccins. Et bien certains médias ont fait croire qu’ils étaient contre tout les vaccins.

Les médias, plutôt qu’aller chercher l’information de ce que pense vraiment tel médecin ont plutôt décidé de prendre une partie de son discours et le diffuser lâchement pour créer le conflit et faire de l’audience.

Oui, les médias rendent fous. Car ils donnent l’impression qu’une grande tranche de la population est dangereuse, que ce soit parce que ces personnes sont Antivax ou pour d’autres raisons.

Dans ce contexte de peur, les médecins ont une réputation a conserver car ils ont une carrière et peuvent avoir peur du conseil de l’ordre des médecins (qui peut les révoquer) aussi sujet aux rumeurs, n’osaient absolument pas se prononcer publiquement sur le sujet. Je le sais pour avoir été dans le milieu médical, les rumeurs circulent réellement faisant passer les naturopathe pour une secte, et tout autres médecines parallèles pour dangereuses, bien que parfois des soignants en médecine parallèles soient réellement dangereux. Les rumeurs peuvent parfois faire passer des médecins avec des avis différents pour des dangereux dissidents. À partir du moment où les médecins ressentent que c’est vraiment mal vu dans la sphère médicale de s’opposer aux vaccins, il peuvent redouter vraiment passer pour un dangereux charlatant si ils osent critiquer le vaccin, être entravé dans leur carrière ou être révoqué même ils peuvent avoir certains arguments justes. Si ils sont bannis de l’ordre des médecins, ils redeviennent caissier. Ils n’ont même pas le droit d’être aide soignant ou infirmier sans formation. Je le sais car j’ai arrêté les études de médecine en 4ème année et c’est ce dont je me suis rendu compte. Donc les rumeurs qui circulent sur d’imminent chercheur font aussi peur aux autres, et les empêche de parler. Encore une fois, je ne peux affirmer ce que je dis mais il me semble bien que c’est juste, il faudrait aussi enquêter pour savoir. Ça peut être un moyen de bloquer des recherches, il faut donc assurer aux chercheurs un emploi à vie pour qu’ils n’aient pas peur de faire les recherches polémiques.

Inversement le milieu médical minimise les abus des labos par ces rumeurs. Par exemple j’ai entendu dire des amis médecins que le retrait d’un certain anti-épileptique pour les femmes enceintes était exagéré. D’après une émission que j’ai vu cet anti-épileptique créait quelque chose de l’ordre de 30% de malformation et 20% de retard mentaux important chez le fœtus. Ces médecins ne savaient pas cela! Et je crois que si je leur avait dit, ils ne m’auraient pas cru. Je ne peux pas être non plus totalement sûr que l’émission disait vraie, mais je crois qu’une émission n’a pas le droit de mentir sur un tel sujet impliquant une entreprise, c’est pourquoi j’y crois. Les rumeurs chez les médecins attaquent les pratiques opposés au labo pharmaceutiques et protègent celle pour les labo pharmaceutiques, il ne circule pas une telle information.

D’après l’histoire des sciences et ce que dit Didier Raoult, bien souvent lors d’une découverte celle ci est rejetée puis acceptée puis on dit que c’était évident. C’est peut être ça qui se passe aujourd’hui mais en plus fort à cause des médias qui sont défaillants.

Pour lancer une étude sur des patients, il me semble bien qu’il faut l’accord de l’ANSM, une institution française qui est composée de nombreux médecins et d’autres spécialistes. Il est envisageable qu’il y ait eu un phénomène de sélection qui a favorisé le personnel ayant cette mentalité de croire à ces rumeurs. Si jamais il a commencé à se concentré des gens croyant ces rumeurs contre ces scientifiques qui ont peut être fait des découvertes importantes, alors les nouveaux arrivant à l’ANSM ne sont resté que si ils tolérait cette mentalité, que si ils étaient d’accord avec ces rumeurs. Petit à petit a pu se concentrer des gens anti Raoult, anti Montagnier, etc. Du coup, quand ces scientifiques demandent des autorisations pour ces études, ils ne les obtiennent pas. Ce qu’il faudrait faire, c’est de tirer au sort dans les médecins statisticiens et autres spécialistes les gens qui vont faire parti de l’ANSM. Ainsi, ils ne seront pas bornés et la recherche pourra avancer. Ça peut être pareil pour d’autres institutions similaires dans le monde.

Le discours de ces gens que je pense être lobbyistes

Les gens se font avoir par la notion de "c’est scientifique". La science c’est juste le bon sens appliqué à des phénomènes difficiles à comprendre à première vue. C’est rien de plus que cela. Après il est vrai qu’il faut parfois avoir travaillé des années sur un sujet pour le maîtriser.

Les lobbyistes profitent de ces idées pour discréditer certains chercheurs dont je parlais. Ils trouvent tout un tas d’arguments qui ne tiennent pas la route pour faire croire que leurs recherches sont pseudo scientifiques et que la communauté scientifique n’y crois pas. C’est ce que j’ai vu sur Wikipédia et les attaques envers Luc Montagnier et aussi à la télé.

La science ça n’est pas: ce qui est écrit dans les livre est forcément vrai! Les livres se basent sur des idées qui sont on les comprend bien, peuvent être parfois un peu inexactes! Dans la science il faut se remettre en question.

Ça n’est pas non plus: pour faire une grande découverte aujourd’hui il faut des grandes études. Je crois qu’il peut encore y avoir de grandes découvertes faites par quelques hommes. D’où l’idée que certaines recherches que je cite (Luc Montagnier, le professeur Fourtillan) peuvent être juste et très importantes.

Pour revenir sur cette accusation de pseudo-science, ces gens que je crois lobbyistes affirment que la science c’est ce qu’ils disent et pas autrechose! Ils sont radicaux ont tort.

Ils ont tort car les raisonnements scientifiques sont toujours subjectifs, un bon scientifique le sais. C’est issu de la logique mathématique. En effet quand on trouve une explication, un modèle, pour expliquer une observation, il existera toujours un autre modèle pour expliquer le même résultat, et il est tout à fait impossible de savoir quel modèle est le plus probable. Par exemple si on observe que mille fois une balle lancée en l’air suit un trajectoire vérifiant la loi de la gravité, on peut penser que ça s’explique parce que le monde actuel est dirigé par les lois de la gravité, c’est juste. Ça peut aussi s’expliquer parce qu’on vivrait dans un monde simulé par ordinateurs (comme dans Matrix) où ces IA veulent nous faire croire que ce sont les lois de la gravité qui sont vraies. On aurait exactement les mêmes résultats, et on ne peut savoir lequel est le plus probable. Il y a toujours une explication alternative à une observation. Croire qu’on a forcément raison sur une interprétation d’une observation est mathématiquement forcément une erreur car il y a toujours une explication alternative. Ça, les lobbyistes semblent ne pas le comprendre. Le youtubeur "la tronche en biais" était très bon pour faire ce genre de mauvais raisonnements.

Les services secrets faisant cela peuvent recruter des gens avec trouble de personnalité paranoïaque et anosognosie (c’est à dire l’absence de conscience de leur trouble), quand je me suis battue avec ces gens sur Wikipédia, dans les pages de discussions ils me semblaient avoir une absence totale de sens critique sur leur mauvaises foie..

Ça les rend d’une mauvaise foie pas possible et l’anosognosie qu’ils auraient les empêcherait d’avoir un esprit critique sur leur délire, et du coup ça permettrait qu’ils ne trahissent jamais les leur.

J’ai entendu le témoignage d’une amie, qui il y a longtemps a été embauché suite à deux heures de test psychométriques (des questionnaires qui mesurent la situation psychologique de la personne). C’était pour un métier particulier. Elle a eu une interview après avec une psychologue qui a analysé le questionnaire que mon amie a rempli. Elle m’a dit que c’était inquiétant car ils comprenaient tout de sa psychologie! Je pense qu’en utilisant ces trucs de psychologie les employeurs des lobbyistes ou les services secrets trouvent ces gens avec ce trouble de la personnalité paranoïaque et avec anosognosie, ciblant exactement les gens qui leur rendront bien service sans jamais les trahir! Il faudra absolument soigner ces gens, peut être les condamner un peu, mais surtout les soigner et les surveiller pour s’assurer qu’ils ne recommencent pas. Aussi Twitter est sûrement un beau terreau pour trouver ces gens.

Les chercheurs financés par des entreprises

Les chercheurs payés par des entreprises pour prouver un truc, que ce soit des labos pharmaceutiques, de l’industrie du tabac, de l’agro-alimentaire, etc. ne sont pas payés pour aller dans le résultat contraire à l’entreprise qui la finance.

Comme je l’ai expliqué précédemment, il y a un filtre sur les entreprises, ci bien que celles ci agissent pour faire de meilleurs bénéfices. Une entreprise ne va pas financer une étude qui met en avant que ses produits sont dangereux.

Si un scientifique payé pour une étude par une entreprise, publiait un résultat contraire à ce que l’entreprise veut, l’entreprise ne financerait pas à nouveau les recherche de ce scientifique. Même moi qui ait du mal à accepter les coups bas que certaines entreprises peuvent faire, en tant que PDG, j’aurais du mal à financer des études qui vont à l’encontre de mon entreprises: j’ai la responsabilité de faire vivre mes employés, et je suis redevable face aux actionnaires.

Il y a là un énorme biais qui favorise les publications qui vont dans le sens des labos pharmaceutiques, ou de toutes autres entreprises qui financent une étude liée à son domaine. Les études mettant en évidence la qualité d’un produit vendu peuvent être justes ou fausses, mais il n’y aura jamais d’étude payée par une entreprises mettant en avant un défaut de son produit.

Les études des labos pharmaceutiques sont biaisables

Les études que font les labos pharmaceutiques pour montrer l’efficacité de leurs médicaments dans telles ou telles situations est biaisable. Ce que je veux dire par là c’est qu’on peut les tordre (tout en respectant la loi) pour mettre en avant l’effet qu’on désire car ces études sont contrôlée par l’union européenne. Ça a une limite mais c’est déjà immorale. Je pense que presque tout les labos pharmaceutiques le font car ceux qui ne font pas ainsi ont perdu des parts de marché et on fait faillite car ces études persuadent les médecins de prescrire les médicaments.

Pour prouver l’efficacité d’un traitement, les labos pharmaceutiques doivent faire des études randomisées qui consistent à comparer l’effet d’un traitement face à un autre traitement ou à un placebo. Pour cela on prend un échantillon de patients et chaque patient, on les tire au sort pour savoir si ils vont avoir le premier ou le deuxième traitement ou quand c’est contre placebo, le premier traitement ou le placebo. Le médecin et le patient ne savent pas jusqu’à la fin quel traitement ils ont (c’est le double aveugle).

Ces études sont surveillées par l’Europe pour qu’il n’y ait pas de tricherie dans la récupération des données. Cependant les labos peuvent toujours concevoir l’étude, paramétrer l’étude pour qu’elle mette en avant les qualités du médicament en faisant oublier les défauts.

Par exemple, si l’antipsychotique qu’un labo pharmaceutique est surtout efficace dans la schizophrénie avec parano, alors ils peuvent le tester mais sur un échantillon de patients ayant une schizophrénie très parano, par exemple en sélectionnant les bons hôpitaux où ils font l’étude, en oubliant les autres type de schizophrénie. Ainsi le résultat de l’étude montrera une grande efficacité dans la schizophrénie, alors qu’en réalité il est très efficace que sur un sous ensemble des patients, les schizophrènes ayant beaucoup de parano. C’est ce qu’il me semble, c’est très compliqué pour moi de me renseigner sur tout, je crois bien que ce que je dis là est vrai, mais il faudrait aussi le vérifier par des interviews avec des avocats spécialisés dans ce domaine.

Aussi, si le traitement est très très efficace sur un sous groupe de patients, par exemple pour les traitements actifs sur l’athérosclérose, on peut tester le traiter sur un sur ensemble de ces patients. Je crois que ça a existé dans le cas des statines (traitement préventif de l’athérosclérose qui sont les plaques de graisses dans les artères), et qu’avant on donnait à nettement plus de patients les statines. Ils ont, je crois, fait l’étude à la fois sur les patients ayant beaucoup de facteurs de risques cardiovasculaires et ceux en ayant très peu, on a vu une efficacité en moyenne mais en réalité cette efficacité était due à l’efficacité uniquement sur les gens ayant le plus de facteurs de risque cardiovasculaires. Ainsi on a persuadé les médecins de donner des statines à énormément de patients alors qu’en réalité peu en avaient vraiment besoin. Encore une fois, je ne peux enquêter la dessus car je manque de temps mais c’est ce que j’ai entendu.

Pour lutter contre ça, on pourrait faire en sorte que ce soit l’union européenne qui design ces études, on encore mieux, un état mondial. Je ferais un chapitre sur cette idée d’état mondial qui ferait des lois, mais uniquement sur les choses qui ne peuvent se faire qu’à l’échele mondiale.

Et comme je l’ai dit les visiteurs médicaux ont mille arguments pour favoriser l’idée que leur traitement est efficace, et évidement ils ne mettent pas en avant les arguments contre si ils le peuvent.

Une autre dissimulation des arguments est pour le vaccin du Covid. Apparemment les 15 premiers jours après le vaccin, des anticorps facilitant augmentaient le risque de contracter certains variants. Il semblerait que les labos ait oublié de mentionner cela. C’est ce que précisait Didier Raoult dans ses vidéos.

Les vaccins également, fonctionnerait apparemment bien sur le premier variant, pour les variant suivant, c’est bien possible qu’ils fonctionnaient moins bien, ce n’est pas les labos qui sont allé crié cela aux autorités.

Pour le vaccin du Covid et les 90% d’efficacité sur le premier variant, ils ont aussi pu sélectionner l’échantillon favorable à cela: la bonne tranche d’age etc.

L’épisode avec Didier Raoult et l’HCQ

Il y a beaucoup de choses à dire sur l’épisode avec Didier Raoult.

Une des choses importantes à préciser est qu’il ne disait pas des choses folles, mais plutôt du bon sens. Sa manière de parler qui semblait être assez énervée contre tout a facilité la polémique. Ça a sûrement favorisé que les médias cassent du sucre sur son dos.

Il a l’habitude d’affirmer qu’il « ne sait pas » dans les prédictions qu’il suppose, autrement qu’il ne sait pas tout les paramètres et donc que ces affirmations, pour la plus par, ne sont pas sûr. En effet, la médecine est un science inexactes surtout quand on veut prédire ce qui va arriver. Durant cette crise, sur les vidéos que j’ai vu de lui, il me semble bien qu’il a toujours précisé qu’il est impossible de prévoir à coups sûr et que lui aussi ne le faisait pas même si il a fait des suppositions. En réalité, je crois qu’il a du mal à s’exprimer et à comprendre les autres dans une conversations, couplé avec la mauvaises manière que les journalistes interviewent, ça a créer des conflits et l’incapacité de se comprendre.

Il y avait bien des pics de surmortalité en hiver et particulièrement marqués à certains hiver, on peut le voir sur le site de l’Insee.

Didier Raoult et Perronne qui ont été accusé de minimiser la crise se sont basé sur ces précédentes observations pour dire que la mortalité n’était pas pire que certains hivers précédents, où des coronvirus provoquaient ces pics de mortalité chez les personnes proches de la mort. La différence est que il y avait aussi parfois des gens assez jeunes qui mourraient. Mais, effectivement vu la courbe de mortalité on aurait pu croire que c’était une crise classique, elle n’était pas plus importante que celle de 2017 par exemple pour le mois de mars 2020. Ils n’ont jamais affirmé que la crise serait bénigne, ils ont toujours précisé dans leurs paroles que l’ont ne peut prédire les crises, mais qu’en se basant sur les choses observés par le passé on pouvait supposer que ce ne serait pas grave, même si ils l’ont dit de manière énervé.

Et effectivement vu les courbes de mortalité, les pics depuis 2020 sont à la fois plus grands et durent plus longtemps, ce qui laisse supposer que ce coronavirus s’est bien implanté. On ne peut pas prédire la suite, c’est impossible car ça dépend de paramètres qu’on ne connaît pas et qu’on ne sait simuler. Entre autre ça dépend des réactions chimiques qui se passent dans les cellules qui sont extrêmement dures à simuler. Et ça ce sont des choses que Didier Raoult affirme avec les quels je suis parfaitement d’accord.

Les médias l’accusaient d’avoir eu tort, et je pense qu’ils font ainsi car ça fait de l’audience. Et surtout, surtout il y a eu nombreuses autres accusations sur lui injustifiées dans les médias.

Est ce que l’hydroxychloroquine fonctionnait sur le Covid-19? Lui affirmait que c’était le cas, d’autres affirmaient que ça tuait les gens. Quand je lis les publications sur Pubmed (le site américains qui recense les publications médicales, utilisé par la majorité des chercheurs), il semble que ça ne soignait pas les gens. Cependant il y a ce site: c19hcq.org qui fait une méta-analyse des études sur l’hydroxychloroquine sur le Covid 19 et qui semble affirmé, que l’HCQ donné tôt dans la pathologie, avec des doses raisonnables diminue de 76% la mortalité. Ils se basent sur des études pour certaines disponibles sur Pubmed. Il y a aussi des méta-analyses sur Pubmed qui disent le contraire.

Ma question est: qui a raison? Il faut enquêter pour le savoir. Le site c19hcq.org pourrait fait par un bénévole un peu parano qui choisi mal les études sur lesquelles il se base, surtout celles en faveur de l’efficacité de l’HCQ. Aussi ça pourrait être un site créé par des pays ennemis de l’Europe et des États-unis pour discréditer les anciens dirigeants qui n’ont pas donné l’HCQ aux patients. Ou bien celui qui a fait le site a une bonne rigueur et il est juste. Dans ce cas, soit les autres sont dans l’erreur, ça peut être le cas si ce sont des portes plumes (des gens payés par les labos pharmaceutiques pour faire l’étude qui convient au labo). Soit les autres n’ont pas mis en évidence la même chose, ils mesuraient pas exemple l’effet de grosses doses d’HCQ et donné tardivement, et ça a pu être fait volontairement pour discréditer l’HCQ pour favoriser le vaccin ou pour une autre raison plus morale.

Aussi, si on fait relire les publications anoblissante que l’HCQ fonctionne pour le Covid à bon nombre de médecins, ils risquent, pour certains de trouver mille arguments pour dire que l’étude marche pas étant donné qu’il y a une subjectivité dans l’analyse d’étude. Chez les médecins victime de leur mauvaises foie, ça risque d’être le cas.

Pour prouver ce phénomène de subjectivité de l’analyse des études, ils suffirait de reprendre les même études, de simplement changer la conclusion (faire dire aux études que l’HCQ ne fonctionne pas alors qu’elle fonctionne) et je crois que par magie, ces médecins ne trouveront que très peu de contre arguments contre ces études. Une telle étude randomisée où l’on mesurerait les avis des médecins sur ces études prouverait la subjectivité de l’analyse des études surtout quand il y a un ressenti relatif à cela.

Aussi ils ont pu pirater les serveurs d’Elsevier (l’entreprise principale des journaux médicaux) pour bloquer les publication en faveur de l’HCQ et empêcher qu’elles se fassent connaître. Il suffit de changer par piratage la réponse des reviewer. Je n’ai pas le temps d’enquêter la dessus, mais il faut absolument que les députés et les agents des services secrets le fassent. C’est très grave, car si des portes plumes ont pu empêcher le traitement par l’HCQ, ils ont été responsables de la mort d’environ 70% des personnes mortes du Covid-19 soit 3 millions et demi de personnes, même si la plus part étaient proche de la mort. Si ils ont fait ça ils sont capables de bloquer d’autres découvertes.

Si les études ne sont pas publiées par Elsevier par un piratage, les médecins peuvent effectivement passer à coté de la réalité.

Les médecins ont ainsi eu peur de prescrire l’hydroxychloroquine, car on prétendait que c’était mortel et irresponsable d’en prescrire, du coup ils pouvaient avoir peur d’un procès. Je ne sais pas où est la vérité. Mais si ce sont des lobbyistes qui sont passé à la télé pour dire cela, alors que l’HCQ fonctionnait réellement, ils sont aussi responsables de la mort de millions de personnes.

Les médias ont braqué les gens les uns contre les autres alors que Raoult et la plus part des autres scientifiques étaient du même avis si on cherchait à les faire parler calmement entre eux. Le truc c’est que les médias ont choisi d’énerver les gens pour faire de l’audience. Encore aujourd’hui, je pense qu’il y a des gens persuadé de trucs faux et parano, et ça des deux cotés des avis (que ce soit pro Raoult ou anti Raoult par exemple). Il faut des médias qui mettent en avant les informations importantes pour prendre des bonnes décisions sans braquer les gens les uns contre les autres. Ça donnait à tort ou à raison l’impression qu’il y avait un complot contre lui, ou que lui représentait un danger, les médias ne doivent pas agir comme ça!

Les rumeurs et les journaux sur internet l’ont fait passer pour un tyran, un menteur, que ses études sont vastement truquées, qu’il a un melon énorme et qu’il ne supporte pas être contredit. Était ce dirigé pour lui nuire ou faire de l’audience ou les deux?

On a traité les gens d’Antivax, de complotiste ou de rassureur de la crise. C’est possible qu’il y ait eu des gens extrêmes croyant que le Covid n’existait pas, mais ils ont le droit de croire à ce qu’ils veulent sans être insultés, en les infantilisant. Ils les humilient et faisaient de l’audience ainsi. Les médias ne se sont pas gênés. Après j’ai un énorme biais: je regarde des extraits de la télé par YouTube, ce qui sélectionne les épisodes très polémiques.

Aussi, je ne vois pas l’intérêt dans l’action de Didier Raoult de mentir.

Il semblait avoir un égo démesuré et être hautain dans ses paroles. Je pense, pour avoir vu ses vidéos, qu’il se mettait en avant pour faire comprendre que c’était un très grand scientifique pour faire accepter qu’il avait raison pour sauver des gens. Il semblait mieux connaître l’analyse des études scientifiques et comment en tirer une conclusion que la plus part des gens au ministère.

Comme pour l’HCQ, si la rumeur circule qu’un traitement alternatif est très dangereux et que ça persuade une majorité des médecins alors les médecins vont avoir peur de le prescrire. En effet les prescriptions hors AMM (hors autorisation de mise sur le marché) est autorisé mais engage la responsabilité du médecin, ce qui veut dire que si un patient porte plainte pour effet secondaire grave, le médecin peut avoir des problèmes juridiques lourds. Donc si un laboratoire pharmaceutique veut éviter que les médecins prescrivent certains traitements, il suffit qu’ils fassent passer des rumeurs comme quoi le traitement est extrêmement dangereux et que c’est irresponsable de le prescrire.

Dans ses vidéos il se défendait de ces rumeurs. Par exemple sur le fait qu’il a fait un essai sauvage en traitant des patients ayant la tuberculose. En réalité il s’agissait de 2 clochards qui n’allaient certainement pas prendre le traitement classique contre la tuberculose qui dure un an avec 4 puis 2 antibiotiques, alors il a décidé de donner un traitement alternatif peu connu et pourtant très efficace qui dure seulement deux mois. Traitement qui aurait été dénigré par les labos. Ce qu’il a fait est parfaitement légal, c’est juste que ça engage sa responsabilité si il arrivait un problème, et en plus d’être légal c’était pour le bien de ces deux patients clochards. Et il a été lourdement attaqué dans les médias pour ça. La justice ne lui a pas donné tort je suppose, sinon on l’aurait su.

C’est un point qu’il faut comprendre dans certaines situations permettant l’impunité totale: il n’y a pas de loi interdisant le lobbying ou il y en a mais elles sont difficiles à appliquer car on n’est pas sûr d’avoir à faire à des lobbyistes ou non donc les juges ne peuvent pas punir.

Si des journalistes ont été corrompu, il faudrait mettre à disposition des journalistes un numéro de téléphone, pour que ceux ci alertent les députés quand on vient leur proposé d’être corrompu.

On pourrait aussi penser que Raoult aurait des intérêts dans l’HCQ, il faut savoir que c’est un médicament dans le domaine publique, et qu’il ne rapporte presque rien aux labos qui le vendent car il y a une concurrence sur son coup de fabrication. Donc c’est là aussi, envisageable mais peu probable.

Il y a eu des articles internet qui décrivaient les souffrances à l’IHU de Marseille comme inhumaines. Il me semble bien que c’était des articles à charges, je crois me souvenir qu’il s’agissait d’environ 20% de personnes à l’IHU qui ne trouvaient pas de sens à leur actions. Je crois que dans nombreux hôpitaux de l’île de France, c’est bien pire.

Il faut faire en sorte que les médecins puissent s’exprimer dans les médias sans avoir peur des représailles. Pour comprendre ce qui pourrait les empêcher, il faut aller leur demander. Est ce qu’ils peuvent se faire virer? est ce qu’ils ont peur que ça donne une mauvaise image à leur équipe? peur de perdre des patients, que des rumeurs circulent sur eux? de perdre leur emploi? Luc Montagnier avait précisé que les autres scientifiques qui travaillaient sur le même sujet que lui avait peur pour leur réputation. Il travaillait sur la mémoire de l’eau, il a observé des choses très intéressante se basant sur les précédents travaux de Jacques Benveniste. Apparemment l’efficacité des médicaments d’homéopathie est nulle ou faible, même si ils sont liés à ce principe. On peut voir ses travaux dans la vidéo « on a retrouvé la mémoire de l’eau ». Ces travaux pouvaient menacer l’industrie pharmaceutique car on aurait pu avoir les même effets que des médicaments en envoyant les bonnes ondes électromagnétiques sur les personnes. Évidement ces travaux étaient très controversés car ils paraissaient non rigoureux et ésotériques, mais il arrivait à reproduire certaines expériences, dont celle ci: En enregistrant le spectre électromagnétique émis par l’eau quand celle ci contient des brins d’ARN avec une certaine séquence, puis en renvoyant le même spectre électromagnétique vers une autre eau contenant des polymérases, il arrivait à faire séquencer par la polymérase la même séquence d’ARN que dans la première eau. L’eau semble réussir à contenir une séquence et cette capacité de l’eau aurait été utilisée par la nature dans les polymérases, sûrement pour plus rapidement créer des brins d’ARN qui sont des copies de certains gènes. Cette expérience, si elle est juste, est la preuve qu’il y a une certaine mémoire de l’eau.

Il y a apparemment eu des bots qui envoyaient des messages automatiques sur internet apparemment, et ceux là auraient été en parti guidé par Didier Raoult et son équipe. Ces bots avaient tendance à mettre en avant les message pro Raoult, c’est ce que dit cette vidéo: "LES DISSIDENTS : IMMERSIONS DANS LES SPHÈRES CONSPIRATIONNISTES". Je pense qu’il y a eu aussi d’autres bots qui faisaient le contraire. Comment expliquer que je reçois des messages de haines pas possibles et icônes rire sur mes commentaires quand je parle calmement des arguments qui diminuent la gravité de la crise ? À moins que les labos pharmaceutiques soient aussi dans le coups et diffusaient ces messages? Ces bots mettant des messages de haines contre les pro et anti Raoult auraient été là pour faire de l’argent par des messages de pubs d’après cette même vidéo.

Enquêter là dessus

J’ai entendu dire par une ami qui était assistante parlementaire que certains députés pourraient être lobbyiste, pour certaines lois ils sortaient de derrière les piliers à l’assemblée nationale pour faire basculer le vote. Ils peuvent aussi faire circuler des rumeurs. Pour éviter qu’ils influencent en mauvais sur les autres députés, il faut qu’entre eux, ils tirent à la courte paille plusieurs enquêteur qui cherchent l’origine des rumeurs, et que ces enquêteurs changent régulièrement.

La première chose à faire est que les députés emploient et communiquent avec les gens des services secrets en leur demandant d’aller enquêter pour vérifier si ça existe ou non. Certaines enquêtes peuvent être faite directement par les députés mais pas toutes.

Pour les lobbyistes il faut aller dans leurs jeux, et essayer de devenir leur client en leur faisant croire qu’on est un puissant industriel. Il faut petit à petit les infiltrer pour les dénoncer et pareil pour les portes plumes. Aussi les portes plumes d’un pays pourraient être protégés par le pays où ils travaillent car c’est dans l’intérêt économique de leur pays, je pense en particulier aux États-Unis qui sont lancés à fond dans la guerre économique.

Il faut enquêter sur Wikipédia, voir si il y a bien des lobbyistes.

Il faut aussi enquêter sur l’HCQ, voir si elle était efficace donnée tôt lors de la maladie du Covid avec la bonne dose. Pour ça il faut voir pourquoi le site c19hcq.org affirme que c’est très efficace. Il faut voir aussi si des portes plumes ont pu faire des études calibrées de la mauvaise manière pour faire croire que l’HCQ était dangereux dans le Covid. Pour ça il faut employer les services secrets pour aller discrètement questionner ces scientifiques et leur faire cracher le morceau puis les traîner en justice.

Si c’est le cas, il faut faire intervenir les gens des services secrets chez les députés, en témoignant des problèmes. À l’heure actuelle, je crois qu’ils n’ont pas le droit de témoigner à qui que ce soit, il faudrait que les députés puissent questions les agents des services secrets dans une certaine limite.

C’est envisageable que des services secrets aient infiltré les médias européens ou aient corrompu des journalistes. Ça expliquerait toutes les attaques violentes et injustifiées contre plusieurs scientifiques. Il faut permettre aux journalistes de dénoncer les propositions de corruptions, il faut qu’ils aient un numéro pour la dénoncer ou qu’on leur demande de contacter les députés.

Il faut enquêter sur Pfizer qui a payé environ 10 milliards de dollars d’amendes en 10 ans. Il faudrait voir ce dont il s’agit.

Il faut contacter ceux qui travaillent dans les labos dans les branches ou ça peut poser problème et surtout ceux qui ont quitté ces branches et à ceux à la retraite, ils ont peut être été dégoûtés. Il faut interroger les gens du marketing de tout domaines pour savoir si durant leurs études ils ont entendu parler des gens du marketing des labos pharmaceutiques comme mauvais! Si c’est le cas, ça peut favoriser la concentration des mauvais vers les labos pharmaceutiques car ils savent qu’ils peuvent y gagner gros.

Il faudrait aller aux réunions des actionnaires des labos pharmaceutiques pour savoir les pratiques de ces laboratoires pharmaceutiques, ou chaque actionnaire peut aller.

On peut imaginer pire. Une partie du personnel dans les ministères et à l’Ansm pourraient être placés par les labos. Par émulation on leur dit: Ah c’est nickel si tu es au ministère tu peux aider notre labo! et ils y vont! Après il peut y avoir une mauvaise mentalité qui empêche les découverte sans pour autant qu’il y ait de corruption comme je l’explique dans le chapitre sur les rumeurs.

Ça peut d’ailleurs être pareil pour les autres industries minières et le ministère de la défense? C’est plus une question qu’une affirmation. Il faudrait que les députés enquêtent la dessus en allant voir les anciens du ministère, ce qu’ils en pensent.

Les détectives privés sont formés dans les écoles, il y est appris que certaines enquêtes sont interdites. Il faudrait demander à ces gens, si des détectives privés n’abusent pas, si certains font pas des enquêtes interdites? Je pense que ça peut très bien être le cas pour s’opposer à des gens qui posent problème à des entreprises. Ces missions interdites sont sûrement beaucoup mieux rémunérées et ça attire les voyous.

Une idée serait d’aller voir les avocats et les détectives privés autour des labos pharmaceutiques, pour leur demander si ils ne reçoivent pas des demandes abusives de leur part. Aussi on pourrait demander à des avocats si dans le milieu il est connu que les avocats de labo pharmaceutiques se comportent pas particulièrement mal.

On peut demander aux chercheurs d’un peu partout, du CNRS, etc, si eux n’ont rien vu de vraiment tordu.

Solutions

Pour éviter les portes plume, il faut faire en sorte que des enquêteurs puissent vérifier si chaque étude est juste. Pour chaque étude qui mesure l’effet d’une chose sur des patients, les patients doivent garder la trace des résultats. Et si c’est une étude randomisée en double aveugle, les traitements pris doivent être gardés, notés dans une enveloppe fermée donnée au patient. Cette enveloppe aurait la mention: n’ouvrez que si un enquêteur de la police vous le demande, veuillez gardez ce document au moins 20 ans. Ça permettrait ainsi d’éviter toute tricherie des portes plumes. Les enquêteurs de la police pouvant vérifier cela.

Il faut surtout une transparence des entreprises vis à vis d’enquêteurs, vis à vis de l’état. Il faut qu’on puisse voir ce qui s’y passe en mal. C’est pour ça que les journalistes du peuple et les députés doivent pouvoir interroger des gens tirés au sort dans ces entreprises. Ces gens n’auraient pas le droit de partager des secrets industriels.

Surement, si ce que je dis est vrai, il y a eu de nombreux employés qui faisaient ces mauvais coups qui ont pensé à dénoncer cela, mais ils ont eu peur d’une part de la vengeance des dirigeants, et que eux même pouvaient être punis par la loi. C’est pourquoi il faudrait punir faiblement les petites mains surtout si ils se dénoncent d’eux même (ce qui les inciterait à dénoncer les faits), et fortement les donneurs d’ordre et les plus haut placés.

Bien-sûr si on le fait à l’échelle de notre pays, les entreprises des autres pays auront un avantage. C’est pourquoi il faut limiter ces abus, mais que lorsque ça concerne notre territoire et pas les abus fait à l’étranger, pour les labos pharmaceutiques, c’est pas vraiment possible car les études peuvent être faites dans d’autres pays. C’est pourquoi il faudra un parlement mondial qui résous ce genre de problèmes. J’en parlerai dans un chapitre dédié.

Si jamais une entreprise réitère de nombreuses fois ces abus, il faut surveiller physiquement les gens qui abusent dans l’entreprise, en se donnant le droit de mettre une personne 24/24 sur place. Et si ils continuent d’abuser il faut se donner le droit de dissoudre l’entreprise.

D’après Didier Raoult et une de ses études, dans bien des cas les études non randomisées peuvent aussi avoir une bonne validité pour tester des traitements. Donc, si c’est vrai, il faudrait les accepter pour mettre en évidence que telles vieilles molécules sont efficace pour telle pathologie car ces études coûtent beaucoup moins chères que les études randomisées que seuls les laboratoires pharmaceutiques peuvent financer.

Je crois que les gens dans le ministère de la santé ne se sont pas posés toutes ces questions. En général quand je parle aux médecins, ils supposent que les labos abusent mais pas à ce point là. Ils supposent qu’ils cherchent à vendre le plus possible leurs traitements, et s’en méfient un peu mais tout ces coups bas sont du délire parnoïd dans la pensée de nombreux des médecins que j’ai croisé. Je le répète, les abus que la France faisaient sur l’Afrique en choisissant les dirigeants avec des coups tordus, étaient bien réels par plusieurs témoignages des agents de la DGSE (dont Alain Juillet qui en a été le directeur) donc oui de tels agissements peuvent exister de la part de certains services secrets étrangers ou certains labos pharmaceutiques pour défendre leurs intérêts économiques.

Il faudrait que les députés enquêtent aussi sur les gens au ministère de la santé en allant les interroger.

Il faudrait faire en sorte que les gens bannis injustement de Wikipédia puissent participer à nouveau.

Il faudrait faire des journalistes dans le milieu médical en tirant au sort certains médecins statisticiens entre autre pour résoudre les rumeurs (en allant enquêter sur les personnes qui diffusent ces rumeurs) et en faisant des enquêtes sur les sujets qu’ils désirent. Ils diffuseraient alors leurs reportages sur un site dédiés aux médecins et créeraient des conférences de médecins dans des amphis. Ils pourraient aller interroger les chercheurs qui font polémiques et les autres pour avoir des avis justes et non des rumeurs. Ils pourraient aussi enquêter sur les gens qui diffusent les rumeurs et éventuellement les dénonce à la justice. Ils pourraient aussi enquêter sur les problèmes des hôpitaux, des cliniques, des ministères de la santé.

Si les rumeurs sont détruites par ces journalistes, les médecins comprendront qu’on ne peut se fier aux rumeurs, bien qu’il puisse par ailleurs aussi exister des arnaques dans les traitements alternatifs que les rumeurs dénoncent souvent. Ces journalistes du milieu médical pourraient divulguer des informations sur les nouvelles pratiques efficaces qui ne sont pas financées par les labos pharmaceutiques car pour celles financée par les labo, les labo le font tout seul. On pourrait aussi faciliter l’organisation de conférence par des médecine : aujourd’hui les labos pharmaceutiques ont les moyens de faire savoir ce qu’ils veulent très rapidement, pas les médecins chercheurs !

Par exemple l’utilisation de l’électrorétinogramme pour diagnostiquer plus sensiblement entre la schizophrénie et d’autres troubles mettra des années à être une pratique répandue (on le voit dans l’article médical « The Electroretinogram May Differentiate Schizophrenia from Bipolar Disorder » ou la vidéo youtube « L’électrorétinogramme pour différentier une schizophrénie d’un trouble bipolaire ? Sérieux ? ». Alors que ce moyen diagnostique pourrait réellement aider plein de personnes à mieux être mieux diagnostiqués et mieux être soignés, il a énormément de mal à se faire connaître, là ou le vaccin du Covid a mis 15 jours à se faire connaître. C’est pas normal.

Les députés et les services secrets qui voudraient enquêter la dessus devront tirer aux sorts de médecins pour avoir des avis sur des publications, ces médecins peuvent être conditionnés aussi par les rumeurs. Les médecins de Paris, ils ont généralement bien réussi aux ECNS (l’examen classant de 6ème année), car quand on est bien classé on choisi le mieux le lieu où l’on va exercer son externat, donc on choisi Paris. Ce ne sont pas forcément ceux qui comprennent le mieux les choses car ils sont bien classés à ce concours, et pour être bien classé il faut absolument faire que d’apprendre par cœur, accepter ce qu’on nous donne comme information sans réfléchir, et pas chercher à comprendre, ceux qui cherchent à comprendre se font avoir en perdant un temps fou et ont des mauvaises notes. Donc il faudrait aussi sélectionner des médecins hors Paris.

Pour éviter les abus des études randomisées faites par les labos, on pourrait faire trois choses:

• Éviter que les labos fassent leurs études randomisées eux même, ce serait un organisme indépendant qui le ferait à l’aide de médecins tirés au sort. Ces médecins auraient des informations de labos et de chercheurs indépendants, et c’est eux qui désigneraient les études. Il faut le faire si le biais dues aux labo est important et aussi si ces labos sélectionnent vraiment les gens les plus mauvais.

• Faire en sorte que les visiteurs médicaux soient des médecins statisticiens tirés au sort. Ils feraient eux même le contenu de ce qu’ils racontent aux médecins. Ça me parait assez plus faisable que le premier point. Il faut le faire en particulier si ces visiteurs médicaux biaisent beaucoup les médecins comme par exemple en donnant que les arguments pour le traitement et leur racontent des rumeurs contre d’autres traitements.

• Que des médecins statisticiens tirés au sort s’occupent de faire des conférences pour mettre les meilleurs pratiques à suivre se basant à la fois sur les études et les observations de collègue de la spécialité concernée. Il faut que ces médecins ne puissent pas être virables.

Il faut aussi apprendre ce genre de dérives en fac de médecine. Nous, en tant qu’étudiant, nous n’avons jamais été informés dans les cours qu’il puisse exister de telles dérives. Il faut bien-sûr aussi préciser que la plus part des démarches médicales apprises en médecine sont certainement les meilleures et permettent d’éviter les danger, donc qu’il faut les suivre.

Il faudrait voir si certains lobbyistes n’ont pas été employés par le biais de Twitter, ça permettrait de mieux enquêter.

Il faut une loi pour interdire la rémunération de partage de contenu promotionnel ou politique sur des parties de médias neutres qui ont pour but d’informer comme Wikipédia, la télé ou un journal dans la partie hors publicité.

Il faut que des juges puissent imposer de soigner ces gens quand il y aura un traitement nickel ou au minimum qu’on les oblige à passer devant un groupe de médecins qui sait les soigner. Ces gens, si ils ont pour beaucoup une personnalité paranoïaque comme je l’imagine, il faut les surveiller après leur libération de prison. Ils voudront leur revanche, et l’étape suivante sera de prendre le contrôle du parlement (si ça n’est pas déjà la cas avec Emmanuel Macron dont son équipe a sélectionné les députés de la République en Marche, je ne veux pas accuser à tort Emmanuel Macron, ça reste une supposition, mais c’est vrai que sélectionner ses députés n’a rien de démocratique). Si les conséquences du lobbying sont graves, je crois qu’il ne faut pas hésiter à leur interdire toute leur vie de se présenter à une élection.

Malheureusement certains ont une vraie anosognosie de leur trouble d’après les confrontations que j’ai cru avoir avec eux. Ça sera très dur pour eux d’abandonner leur contrôle des choses.

Pour un médecin qui n’a pas entendu toute cette argumentation que j’ai faite pour expliquer en quoi les labos pharmaceutiques peuvent être pourris par des lobbyistes, par des mauvaises actions, il peux leur paraître impossible que l’industrie pharmaceutique soit autant pourri que je l’imagine.

C’est pourquoi les gens tirés au sort parmi les médecins pour faire journaliste devront, si c’est vrai, expliquer les mécanisme qui provoquent cela aux médecins.

Pour le financement des études et des recherches qui cherchent si d’anciennes molécules pour des pathologies seraient utiles, ou qu’on cherche les mécanismes biologique des maladies, on pourrait faire un système similaire aux parcelles d’état que j’ai cité dans un chapitre précédent. Éventuellement si ça marche bien, on pourrait supprimer les labos pharmaceutiques, qui je crois sont à l’origine d’un mauvais lobbying et peut-être du blocage de certaines découvertes très importantes..

Les députés et les services secrets pourraient aussi regarder le contenu des WikiLeaks pour voir si, à l’époque, c’était déjà des pratiques faites entre autre par les États-unis.

Solutions face au manque d’études pour les maladies rares

Il faut laisser une certaine liberté au médecin de prescrire sauf dans de très rares cas tout en l’informant bien ! Je crois que c’est ça la solution pour bien légiférer sur la médecine. Je crois que parfois le médecin est obligé de suivre certaines règle au risque d’être accusé de manquement.

Par exemple je me souviens d’une amie dont le médecin voulait qu’elle fasse absolument un prise de sang pour s’assurer qu’il n’y a pas de danger pour sa pilule contraceptive. Mon amie ne voulait pas faire la prise de sang car elle tombait dans les pommes systématiquement après , ça pouvait être dangereux si c’était dans un escalier ou en traversant la rue. D’après cette anecdote, je crois que le médecin était obligé d’avoir le résultat de la prise de sang pour prescrire la pilule ! Il faudrait dans ce cas là que la loi soit plus souple et que le médecin puisse faire la balance bénéfice risque : il vaut mieux que mon amie ait une pilule contraceptive même sans prise de sang plutôt que rien, car ne pas mettre de pilule contraceptive amène à des risque de devoir faire des avortement qui sont dangereux ! Donc dans ce cas il faut que le médecine puisse donner la pilule sans la prise de sang.

Un autre cas un peu contraire, où là il faut une interdiction absolue est le cas d’un anti-épileptique qui crée un taux vraiment important de malformation (de l’ordre de 30%) et de retard mentaux (de l’ordre de 20%) chez les femmes enceintes. Dans ce cas là, il faut une vraie interdiction absolue. Le mieux serait d’expliquer clairement dans la notion cela.

Et pour les maladies orphelines, il s’agit de savoir comment agir quand ce n’est pas prévu par les études, c’est ce que j’explique par la suite.

Une personne sur vingt a une maladie orpheline, ces maladies n’ont pas de traitements connus bien souvent, c’est pas pour autant qu’elles n’ont pas de traitements.

Il n’y a pas d’études pour les maladies rares, car ces maladies si on les soigne ne rapportent pas d’argent et les chercheurs indépendant n’ont qu’un moindre intérêt à chercher dessus.

Le médecin donc, n’a pas d’autre moyen que de prescrire hors AMM ce qui engage sa responsabilité.

La loi devrait permettre les médecins d’essayer des traitements sur les problèmes de santé vraiment lourd et qui durent depuis longtemps. Les patients qui ont de tels problèmes et qui sont en impasse thérapeutique n’attendent que ça. Il ne faut pas autoriser d’essayer des traitements sur des pathologies aiguës, sauf quand on est sûr que ça peut provoquer la mort.

Oui donner un traitement qui n’a pas été éprouvé est une prise de risque, il y aucun doute là dessus, et si un médecin faisait ça sur chacun de ses patients, il finiraient par y avoir un effets secondaires très graves qui arriveraient. C’est pourquoi il faut le faire mais que sur les cas lourds qui ne s’arrangent pas.

Donc le médecin jugerait que le patient a une pathologie inconnue ou en impasse thérapeutique (après que le patient ait vu plusieurs spécialistes) lourde et qui dure depuis longtemps. Il le noterait dans le dossier médical et ça l’autoriserait à prescrire plus facilement, avec moins de risque de poursuite, en hors AMM. Il faudrait que le médecin indique au patient qu’il est dans ce cadre là et donc qu’il y a des risques de nature inconnu. Et il faudrait apprendre cette législation aux médecins.

Il serait bien que soit mis à disposition des médecins, un site où ils peuvent partager leurs avis sur de tels cas rares, les succès qu’ils ont eu, et les mauvais effets secondaires qu’ils ont rencontré de manière anonyme. Ainsi d’autres médecins à travers le monde pourraient utiliser ces données pour choisir mieux comment soigner les patients avec des maladies orphelines.

Si jamais un médecin subit des poursuite dans ce cadre là, lors du jugement, il aurait le droit de faire venir ses autres patients très bien soignés, et le juge aurait le droit de faire venir d’autres de ces patients tirés au sort, question de savoir si sa pratique est globalement positive, a un avantage bénéfice risque ou non. Si ses pratiques donne globalement un avantage, et qu’il alerte bien ses patients des risques encourus, en leur précisant qu’on est dans un domaine inconnu, alors il ne serait pas puni.

Aussi si le médecin est plus néfaste que bénéfique, il faut qu’il soit interdit de prescrire dans ce cadre là.

Ça permettrait ainsi aux médecins de pouvoir traiter les pathologies rares ou inconnues de la médecines, pour lesquels il n’a pas de conduite à tenir.

Aujourd’hui il y a des médecins de Lyme qui ont peur de la justice pourtant ils soignent des gens et parfois on peut dire qu’ils les sauvent. Je l’ai vécu personnellement pour un ami que j’ai amené voir un tel spécialiste.

Il faudrait voir pourquoi ces choses ne sont pas apprises en faculté de médecine! est ce que c’est trop pointu? est ce que ces médecins ne sont pas représentés dans les hôpitaux, et donc ne donnent pas de cours en faculté de médecine parce qu’ils sont mal vus d’une partie de la communauté?

L’idéal serait que les médecins traitant ces pathologie aient de longues consultations avec leur patients, par exemple 1h et non 15 minutes, et que ces longues consultations soient remboursées par la sécurité sociale.

Le secret pour agir bien. C’est qu’on puisse agir pour le patient sans s’inquiéter d’être mis en justice, enfin on fera vraiment ce qui est bon pour le patient, avec un minimum de pression pour éviter le je m’en-foutisme. et que les médecins aient le temps de réfléchir.

Problèmes dans les hôpitaux

Dans les urgences les patients sont énervés car à force d’attendre. Ils finissent par s’imaginer des scénarios où ils ne vont pas être crus, que le médecin va passer à coté du problème, du coup il y a des tensions, c’est juste normal. Si on veut diminuer la colère des gens aux urgences il faut d’abord diminuer le temps d’attente. Aussi la lumière intense qu’il y a dans les salles d’attente bien souvent peut augmenter la colère, il serait judicieux d’essayer de la diminuer.

Pleins de problèmes dans la médecine et leurs solutions

Le milieu médical peut être un peu dur, en particulier si on ne sait pas se défendre. Je pense en particulier à un ancien ami avec qui j’ai fait un stage dans un service et qui me laissait systématiquement finir ses taches. Aujourd’hui je lui filerait un sacré savon. Mais à ce moment là, j’avais peur que les patients aient des problèmes si je ne terminais pas les taches de faire les ECG à sa place, du coup je le faisais et j’osais pas trop aller contre lui. Si bien que j’avais moins de temps pour réviser et bien réussir l’examen de sixième année. Finalement j’ai arrête en quatrième année à cause de ma santé. Comme un peu partout, si on se comporte bien on se fait avoir, c’est accentué en médecine car on a la responsabilité de la santé des patients!

Aussi l’examen de sixième année sélectionne ceux qui apprennent par cœur, pas ceux qui réfléchissent. Du coup dans les postes haut placé à Paris, ceux qui ont de l’argent pour faire de la recherche, on a des gens qui appliquent les règles, et pas des gens qui réfléchissent. C’est exactement ce qu’il ne faut pas pour faire de la recherche. Il faudrait peut être une part de raisonnement dans l’examen de sixième année de médecine.

Pour que les études soient bien faites et bien utilisées, il faudrait noter les critères de validité de la conclusion, par exemple: Par exemple il faudrait noter dans l’étude que les gènes provoquent telle maladie quand ces gènes sont trouvés lors d’une étude GWAS si la diffusion des gènes est aléatoires lors de la fécondation, si on est pas dans un cas statistiques rare. Mettre les conditions pour lesquels les études sont justes permettrait aux chercheurs d’avoir de meilleurs raisonnements.

L’académie nationale de médecine, je ne sais pas si ils ont un rôle important dans la médecine, mais ce sont tous des anciens médecins très âgés. Je suis allé les consulté une fois pour leur expliquer Wikipédia. je dis un nombre au hasard, il me semble que la moyenne doit être dans les 70-75 ans. Je pense que la majorité n’ont pas les moyens intellectuel de bien choisir. Ils risquent d’avoir été auto filtrés, c’est à dire que ceux qui restent ont uniquement une certaines mentalité.

Peut-être que les facs de médecine ont la responsabilité de mettre en garde les étudiants contre tout pathologie grave sinon un médecin qui fait une erreur médicale pourrait se retourner contre la fac qui ne lui a pas appris? Je ne sais pas si c’est vrai, mais le problème et que ce discours de menace constante de risque juridique dans notre fac ne donnait que des inquiétudes aux étudiants, et jamais de points rassurants. Je crois que cette manière de faire créait une réelle panique chez les étudiants et les amenait à être aigris, à mal se comporter envers les patients et être mal soigner.

Aussi les médecin ont je crois souvent peur de dire qu’il ne savent pas les soigner aux patients. Ils font ainsi car dans leur esprit, ne pas savoir soigner quelqu’un est une faute qui peut leur être reprochée, donc ils se mentent à eux même et essaient de se persuader qu’ils savent soigner la pathologie devant eux. Le soucis est que dans ce cadre, très souvent les médecins, quand les symptômes ne correspondent pas à ce qu’ils connaissent, inculpent le patient de mentir ou d’inventer dans sa tête les symptômes. Pour avoir parler à de nombreuses personnes, c’est assez courant. Le soucis est double : le patient se sent insulté, blessé, humilié, et il sera mal soigné. Il faut donc apprendre aux médecins à avouer au patient qu’il ne sait pas et l’inviter à chercher un autre médecin plutôt qu’insinuer que le patients est fou.

Il n’y a pas ou très peu de journaux scientifiques d’hypothèses médicales et ça c’est dommage. J’en connais que deux et pour avoir demandé à des médecins chercheurs sur ResearchGate (une plateforme pour les chercheurs) il n’y en a pas d’autre apparemment. Il faudrait carrément un Wiki où chaque médecin peut mettre ses hypothèse sur sa page, la recherche avancerait plus vite.

Aussi, on reconnaît souvent les chercheurs par leur nombre élevé de publications, et on leur donne de l’importance uniquement si ils en ont beaucoup. Mais parfois une seule publication peut changer la manière de bien traiter une pathologie, et du coup elle risque de ne pas être connue et reconnue. C’est pourquoi il faut des journalistes tirés au sort parmi les médecins pour enquêter sur les pistes les plus prometteuses.

Je sais qu’il y a souvent des rumeurs de pistes prometteuses dans le milieu médicale, je crois que très souvent ces pistes sont les mauvaises pistes.

Penser au livre qui explique comment les sociétés d’assurance des États-Unis ont fait des coups tordus lors de Lyme dans les années 1970.

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